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Journée Mondiale du paludisme – 25 avril

Le partenariat « Faire reculer le paludisme » a été créé en 1998. Il fédère les efforts de l’OMS, de l’UNICEF, de la Banque mondiale, du PNUD et d’autres partenaires dans la lutte contre le paludisme ils sont à l’origine de cette journée pour lancer un appel aux laboratoires pharmaceutiques et aux pays donateurs afin qu’ils soutiennent l’initiative visant à rendre disponible un nouveau médicament qui sauverait la vie chaque année de centaines de millions de personnes touchées par cette maladie.

L’UNICEF entend s’appuyer sur son réseau d’approvisionnement mondial pour mener le combat mondial en vue de réduire la mortalité due au paludisme.

Qu’est-ce que le paludisme ?
Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. On pensait à l’origine que cette maladie provenait des zones marécageuses, d’où le nom de paludisme dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause du paludisme, un parasite unicellulaire appelé plasmodium. Ils ont ensuite découvert que le parasite était transmis d’une personne à une autre par les piqûres d’un moustique Anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses oeufs.

Le paludisme en chiffres
Chaque année 300 millions de personnes sont atteintes du paludisme et tue plus de 3000 personnes par jour, en Afrique subsaharienne. Le taux de mortalité dû au paludisme est d’au moins 85% en Afrique, de 8% en Asie du Sud-est, de 5% dans l’Est de la Méditerranée et de 1% dans l’Ouest du Pacifique. Actuellement, environ 40% de la population mondiale habitants des pays les plus pauvres du monde pour la plupart sont exposés au paludisme.

Le paludisme, une maladie transmise par un moustique, est responsable de plus d’1 million de décès d’enfants par an – la plupart d’entre eux ayant moins de cinq ans. Quatre-vingt-dix pour cent des décès surviennent en Afrique, au sud du Sahara. Le paludisme est la première cause de mortalité infantile en Afrique. Sur les dizaines de millions qui survivent à cette maladie, un bon nombre sont handicapés physiquement et mentalement. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes. Si les secteurs privé et public collaborent efficacement, nous pourrons rapidement réorganiser le marché des médicaments antipaludiques et faire d’énormes progrès dans la lutte pour faire reculer cette maladie.

Les actions de l’UNICEF
UNICEF et ses partenaires travaillent avec les plus gros fabricants du monde afin de développer la production de médicaments de grande qualité, de telle sorte que chaque enfant et chaque communauté ayant besoin de ces médicaments puissent les obtenir rapidement. L’UNICEF lance également un appel aux pays donateurs pour qu’ils aident les pays où le paludisme est endémique à effectuer le paiement des nouveaux médicaments

Outre son combat pour améliorer l’accès aux médicaments, l’UNICEF soutient les programmes de lutte contre le paludisme dans plus de 30 pays d’Afrique. En plus des médicaments antipaludiques, l’UNICEF a fourni l’an dernier près de 5 millions de moustiquaires, ainsi que des insecticides utilisés pour imprégner les moustiquaires, pour une valeur totale d’environ 17 millions de dollars EU. En empêchant le moustique de piquer et en tuant le moustique porteur de paludisme, la moustiquaire imprégnée d’insecticide peut diminuer les cas de contamination de façon spectaculaire – et les décès.

2008, mondialisation
Depuis 2008, la journée africaine du paludisme est devenue journée mondiale du paludisme. Comme quoi, la mondialisation…

Un site à visiter : www.who.int   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants – 6 mars

La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants a lieu le 6 mars. C’est une journée ou les professionnels des médias du monde entier se mettent sur la même longueur d’onde que les enfants.

Ils diffusent des émissions de qualité destinées et consacrées aux enfants. Mais, surtout, ils donnent l’occasion aux enfants de participer à la production des émissions, de parler de leurs espoirs et de leurs ambitions et d’échanger des informations entre eux.

La télévision en fête
La Journée est une initiative conjointe de l’UNICEF et de l’Académie internationale des Arts et Sciences de la télévision. Chaque année, des milliers de personnalités de la radio et de la télévision dans plus de cent pays prennent part à cette Journée, la fêtant sous des formes aussi exceptionnelles et particulières que les enfants eux-mêmes.

La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants est maintenant une tradition en Amérique latine qui participe à la Journée internationale tous les ans depuis 1994.

Les actions
Dans le cadre de cette Journée internationale, des producteurs du monde entier sont invités à consacrer des émissions à la situation des enfants et à donner l’occasion aux enfants de participer à la production d’émissions.

Elle permet à ces médias d’exploiter le pouvoir de la télévision et de la radio pour sensibiliser les populations aux problèmes de l’enfance. Lors de la “Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants” de 1998, quelque 2000 organismes établis dans 170 pays ont diffusé des programmes spéciaux sur l’enfance, souvent préparés par des enfants.

Un site à visiter : www.unicef.org  

Source: Texte : Journée Mondiale     Images: Web Search Secrets; Medical News Today  

 

Journée mondiale du bénévolat – 5 décembre

Bénévoler ? C’est consacrer son temps libre en mettant au service des autres son énergie et ses compétences. C’est donc bénévolement que je vais vous présenter cette journée. (si, si je vous le jure)

Valeur républicaine ?
En effet, c’est le 17 décembre 1985 à New York que l’ONU a décidé de créer la journée mondiale du bénévolat afin de promouvoir le travail des bénévoles pour le développement économique et social aussi bien au niveau local, national et international. Mais c’est aussi pour mettre en avant le rôle joué par les structures associatives qui s’efforcent de répondre aux divers besoins de la vie sociale, principalement au près des jeunes, et des quartiers difficiles.

L’ONU souhaiterait voir les sociétés et les gouvernements reconnaître et promouvoir le volontariat comme activité indispensable. 

Bénévolat ou volontariat ?
Pour être tout à fait précis, nous nous devons de dire que la résolution des Nations Unies dont il est fait mention (la 40/212) est plus exactement consacrée au volontariat. Et dans ce cas, on parle volontiers de la Journée Internationale du Volontariat. Mais ne nous leurrons pas, il s’agit bien d’une seule et même journée. La nuance n’existe d’ailleurs qu’en France et son origine est plutôt à rechercher dans les méandres du dictionnaire. Ne traduit-on pas « bénévolat » par « Voluntary work » ? 

Championne d’Europe

La France peut se vanter d’être championne d’Europe du bénévolat et du volontariat (ça fait toujours plaisir). Effectivement 4 associations sur 5 sont exclusivement gérées par des bénévoles.

Soit 190 associations créées par jour (70 000 par an, 1 million d’associations en activité), ainsi que 12 millions de bénévoles (dont 3,5 millions de bénévoles réguliers qui accordent au moins deux heures par semaine à une association) qui sont reconnus au niveau du gouvernement par le ministère chargé de la vie associative. Mais hélas, le nombre de bénévoles ne semble pas augmenter.

Chez certain de nos voisins, le bénévolat est considéré comme une matière éducative, c’est à dire qu’il fait partie dans de nombreux pays du cursus universitaire, mais la France devrait d’ici quelques temps se mettre au niveau de ses voisins.

Un site à visiter : www.unicef.fr

Journée mondiale de lutte contre la polio – 24 octobre

L’origine de cette journée mondiale revient au Rotary International et ses nombreux partenaires pour cette cause (de façon non exhaustive et dans le désordre, l’OMS, l’UNICEF, la Fondation Bill & Melinda Gates mais aussi des gouvernements de par le monde, …).

Les actions lancées depuis 25 ans dans le cadre de cette campagne ont permis d’obtenir des résultats spectaculaires et permettent d’affirmer avec un optimisme raisonnable:

En finir avec la polio, on y est presque…
Au début des années 1990, la poliomyélite touchait 350.000 personnes par an dans 125 pays. Elle était encore une des maladies les plus redoutées, paralysant des milliers d’enfants tous les ans et provoquant de nombreux décès.

Depuis cette époque, les campagnes de vaccination ont permis de faire reculer le fléau et on observe un déclin rapide. De nombreuses zones de la planète sont débarrassées presque complètement de la maladie.

Il reste encore des points noirs
Trois pays constituent encore des foyers de résistance à la polyo, il s’agit du Nigéria, du Pakistan et de l’Afghanistan. Les efforts entrepris doivent y être poursuivis pour arriver à une disparition totale de la maladie.

Un site à visiter : www.endpolio.org   Source: Texte: Journée Mondiale   Image: CDC

 

World Day Against Child Labour – 12 June

Every year on June 12 the World Day Against Child Labor is observed to raise awareness of the plight of child laborers world-wide. Hundreds of millions of girls and boys around the world are affected.

Background
Child labor is especially rampant in many developing countries – but even in industrialized nations many children are forced to work. According to UNICEF, children in the United States “are employed in agriculture, a high proportion of them from immigrant or ethnic-minority families.”

There have also been a number of incidents of westerns companies exploiting child laborers in developing countries to save production costs.

In 2011, there were an estimated 215 million child laborers in the world – 115 million of which were involved in hazardous work. To combat child labor around the world the International Labour Organization (ILO) initiated the World Day Against Child Labor in 2002.

Source: Text: timeanddate.com  Image: forwardprogressives.com

 

 

Journée Mondiale du paludisme – 25 avril

 Le partenariat « Faire reculer le paludisme » a été créé en 1998. Il fédère les efforts de l’OMS, de l’UNICEF, de la Banque mondiale, du PNUD et d’autres partenaires dans la lutte contre le paludisme ils sont à l’origine de cette journée pour lancer un appel aux laboratoires pharmaceutiques et aux pays donateurs afin qu’ils soutiennent l’initiative visant à rendre disponible un nouveau médicament qui sauverait la vie chaque année de centaines de millions de personnes touchées par cette maladie.
L’UNICEF entend s’appuyer sur son réseau d’approvisionnement mondial pour mener le combat mondial en vue de réduire la mortalité due au paludisme.

Qu’est-ce que le paludisme ?
Le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. On pensait à l’origine que cette maladie provenait des zones marécageuses, d’où le nom de paludisme dérivé du mot ancien ‘palud’, marais. En 1880, les scientifiques ont découvert la véritable cause du paludisme, un parasite unicellulaire appelé plasmodium. Ils ont ensuite découvert que le parasite était transmis d’une personne à une autre par les piqûres d’un moustique Anophèle femelle, qui a besoin de sang pour nourrir ses oeufs.
 
Le paludisme en chiffres
Chaque année 300 millions de personnes sont atteintes du paludisme et tue plus de 3000 personnes par jour, en Afrique subsaharienne. Le taux de mortalité dû au paludisme est d’au moins 85% en Afrique, de 8% en Asie du Sud-est, de 5% dans l’Est de la Méditerranée et de 1% dans l’Ouest du Pacifique. Actuellement, environ 40% de la population mondiale habitants des pays les plus pauvres du monde pour la plupart sont exposés au paludisme.
Le paludisme, une maladie transmise par un moustique, est responsable de plus d’1 million de décès d’enfants par an – la plupart d’entre eux ayant moins de cinq ans. Quatre-vingt-dix pour cent des décès surviennent en Afrique, au sud du Sahara. Le paludisme est la première cause de mortalité infantile en Afrique. Sur les dizaines de millions qui survivent à cette maladie, un bon nombre sont handicapés physiquement et mentalement. Le paludisme tue un enfant africain toutes les 30 secondes. Si les secteurs privé et public collaborent efficacement, nous pourrons rapidement réorganiser le marché des médicaments antipaludiques et faire d’énormes progrès dans la lutte pour faire reculer cette maladie.
 
Les actions de l’UNICEF
UNICEF et ses partenaires travaillent avec les plus gros fabricants du monde afin de développer la production de médicaments de grande qualité, de telle sorte que chaque enfant et chaque communauté ayant besoin de ces médicaments puissent les obtenir rapidement. L’UNICEF lance également un appel aux pays donateurs pour qu’ils aident les pays où le paludisme est endémique à effectuer le paiement des nouveaux médicamentsOutre son combat pour améliorer l’accès aux médicaments, l’UNICEF soutient les programmes de lutte contre le paludisme dans plus de 30 pays d’Afrique. En plus des médicaments antipaludiques, l’UNICEF a fourni l’an dernier près de 5 millions de moustiquaires, ainsi que des insecticides utilisés pour imprégner les moustiquaires, pour une valeur totale d’environ 17 millions de dollars EU. En empêchant le moustique de piquer et en tuant le moustique porteur de paludisme, la moustiquaire imprégnée d’insecticide peut diminuer les cas de contamination de façon spectaculaire – et les décès.
Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée Internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants – 6 mars

La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants a lieu le 6 mars. C’est une journée ou les professionnels des médias du monde entier se mettent sur la même longueur d’onde que les enfants.

Ils diffusent des émissions de qualité destinées et consacrées aux enfants. Mais, surtout, ils donnent l’occasion aux enfants de participer à la production des émissions, de parler de leurs espoirs et de leurs ambitions et d’échanger des informations entre eux.

La télévision en fête
La Journée est une initiative conjointe de l’UNICEF et de l’Académie internationale des Arts et Sciences de la télévision. Chaque année, des milliers de personnalités de la radio et de la télévision dans plus de cent pays prennent part à cette Journée, la fêtant sous des formes aussi exceptionnelles et particulières que les enfants eux-mêmes.

La Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants est maintenant une tradition en Amérique latine qui participe à la Journée internationale tous les ans depuis 1994.

Les actions
Dans le cadre de cette Journée internationale, des producteurs du monde entier sont invités à consacrer des émissions à la situation des enfants et à donner l’occasion aux enfants de participer à la production d’émissions.

Elle permet à ces médias d’exploiter le pouvoir de la télévision et de la radio pour sensibiliser les populations aux problèmes de l’enfance. Lors de la “Journée internationale de la radio et de la télévision en faveur des enfants” de 1998, quelque 2000 organismes établis dans 170 pays ont diffusé des programmes spéciaux sur l’enfance, souvent préparés par des enfants.

Un site à visiter : www.unicef.org    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

International Day against the Use of Child Soldiers – 12 February

 Child Soldiers are Boys and Girls we Failed to Protect
As we mark the International Day against the Use of Child Soldiers, tens of thousands of boys and girls are associated with armed forces and groups in conflicts in over 20 countries around the world. “Again this year, the multiplication of conflicts and the brutality of tactics of war have made children extremely vulnerable to recruitment and use,” said Leila Zerrougui, the Special Representative of the Secretary-General for Children and Armed Conflict.

In the most recent Annual report of the Secretary-General on children and armed conflict, 56 of the 57 parties to conflict identified for grave violations against children are named because they are recruiting and using child soldiers.

Children are sent to the frontlines as combatants, but many are also used in functions that put their lives in danger such as cooks, porters, spies and informants. During their association with armed groups or forces, children are exposed to high levels of violence. They are witnesses, victims or forced to commit acts of brutality. In addition, a majority of girls, but also boys, are victims of rape and sexual violence. When they are captured or arrested for alleged association with armed groups, too often, children are not treated primarily as victims and denied the protection guaranteed by international norms and standards of juvenile justice.

“Children who are released or escape often have a hard time finding their place in society, or can even be rejected by their communities. We must make it our common responsibility to ensure sufficient resources are available for reintegration to provide psychosocial support as well as education and vocational training. This is crucial to their future and to build peaceful societies,” said Leila Zerrougui.

Twenty years of work to protect boys and girls in conflict
In 1996, the mandate of the UN Special Representative for Children and Armed Conflict was created following the realization that children were the primary victims of armed conflict.

Twenty years later, the international community’s engagement has resulted in a strong framework and concrete tools to engage with parties to conflict and address the violations committed against children during conflict.

“We still face huge challenges to protect children in times of war, but our work and advocacy has led to an emerging consensus among the world’s nations that boys and girls do not belong in national security forces in conflict or in any armed group,” declared the Special Representative

The Optional Protocol to the Convention on the Rights of the Child on the involvement of children in armed conflict, now ratified by 162 state parties, has played a crucial role to bring about this consensus. Leila Zerrougui invites all Member States who have not yet ratified the Optional protocol to do so as soon as possible.

Children, Not Soldiers
In 2014, the campaign Children, Not Soldiers was launched by the Special Representative and UNICEF to support the last eight states –Afghanistan, Chad, Myanmar, Somalia, South Sudan, Sudan and Yemen- identified by the Secretary-General for the recruitment of children in their security forces.

Source: Text & Image: A child associated with an armed group in South Sudan is released, UNICEF

Journée Internationale des droits de l’enfant – 20 novembre

« Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne droit-enfantsanté, dans la paix et dans la dignité. « Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies.

C’est en 1996 que le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégié pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Une convention et des droits
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu’un enfant n’est pas seulement un être fragile qu’il faut protéger mais que c’est une personne qui a le droit d’être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l’endroit du monde où il est né. Et aussi qu’il a le droit de s’amuser, d’apprendre et de s’exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s’engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c’est tout d’abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C’est à ce prix que les droits de l’enfant seront véritablement respectés.

L’UNESCO a toujours accordé une place significative à l’enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l’appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La promotion et le respect des Droits de l’Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l’enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l’éducation.

L’Unicef, dans son rapport annuel intitulé « Enfants exclus, enfants invisibles » relève qu’il existe de nombreux enfants qui ne sont même pas enregistrés à l’Etat civil. Ce même rapport indique que plus d’un milliard d’enfants sur Terre « souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida ».

En 2015, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable… Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l’UNICEF est surement l’une des plus connues, c’est pourquoi nous vous conseillons de découvrir ses actions dans son site internet dédié.

Un site à visiter : www.unicef.fr   Source: Texte (abrégé) & Image: Journée mondiale

Journée mondiale de lutte contre la polio – 24 octobre

afp_140207_ry8lu_teteaill_vaccin_inde_sn635La poliomyélite est une infection grave du système nerveux qui présente comme complications possibles : la paralysie, des dommages musculaires et la malformation du squelette. Le poliovirus se transmet de personne à personne, par des aliments et par de l’eau contaminée. La maladie touche principalement les enfants de moins de 5 ans. Toutefois, l’infection et la paralysie peuvent intervenir chez des personnes de tous âges qui ne sont pas immunisées.

Il n’existe aucun traitement pour cette maladie qui est en passe d’être maîtrisée à l’échelle de la planète. Comme l’a recommandé Christophe Boulierac, porte-parole de l’UNICEF ( Fonds des Nations Unies pour l’enfance ) basé à Genève en Suisse, les États doivent continuer à monter la garde en maximisant le taux de couverture vaccinale sur l’ensemble de leur territoire, y compris auprès de communautés souvent réticentes à la vaccination.

En effet au début de l’année 2014, l’Organisation mondiale de la santé avait fait part de la propagation du poliovirus sauvage notamment en Asie centrale, en Afrique centrale et au Moyen-Orient et recommandé la prise de mesures internationales coordonnées pour réduire la propagation de la maladie.

Un site à visiter : www.endpolio.org     Source: Texte & Image: Radio Canada International