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Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février 2021

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains
Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François. Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées

Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action

Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

 

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Journée Mondiale de la Paix – 1er janvier 2021

Journée Mondiale de la Paix

L’église catholique propose au monde entier de célèbrer la Journée Mondiale de la Paix le 1er janvier depuis 1968, à l’instigation du Pape de l’époque, Paul VI. Ses successeurs ont poursuivi cette célébration et, aussi bien Jean-Paul II que Benoît XVI, ont tenu à marquer d’une manière solenelle l’entrée dans la nouvelle année. Le Pape François a, avec son style propre, repris le flambeau.

La paix, un chemin d’espérance :
dialogue, réconciliation et conversion écologique

Chaque année un thème différent est proposé et, pour 2021, l’accent est mis sur l’univers des soins… Vaste programme me direz-vous… le texte du Pape (voir lien en bas de page) est riche et dense, nous le reproduirons pas in extenso dans le site, mais nous en avons sélectionné quelques passages choisis.

La culture du soin comme parcours de paix

« L’année 2020 a été marquée par la grande crise sanitaire de la Covid-19 qui est devenue un phénomène multisectoriel et global, aggravant des crises très fortement liées entre elles, comme les crises climatique, alimentaire, économique et migratoire, et provoquant de grands inconvénients et souffrances ».

Dieu créateur, origine de la vocation humaine au soin

Il ne faut pas aller chercher très loin le pourquoi des soins : ce que vous ferez au polus petit d’entre les miens….

Les principes de la doctrine sociale de l’Église comme base de la culture du soin

Au cœur de la doctrine sociale de l’Église qui s’offre à toutes les personnes de bonne volonté comme un précieux patrimoine de principes, critères et indications desquels tirer la “grammaire” du soin, on trouve bien entendu : la promotion de la dignité de toute personne humaine, la solidarité avec les pauvres et les sans défense, la sollicitude pour le bien commun, la sauvegarde de la création.

Il n’y a pas de paix sans la culture du soin

La culture du soin, cet engagement commun, solidaire et participatif pour protéger et promouvoir la dignité et le bien de tous, cette disposition à s’intéresser, à prêter attention, à la compassion, à la réconciliation et à la guérison, au respect mutuel et à l’accueil réciproque, constitue une voie privilégiée pour la construction de la paix. « En bien des endroits dans le monde, des parcours de paix qui conduisent à la cicatrisation des blessures sont nécessaires. Il faut des artisans de paix disposés à élaborer, avec intelligence et audace, des processus pour guérir et pour se retrouver ».

Bonne année 2021, sur le chemin de la paix ! 

Un site à visiter : www.vatican.va

Journée internationale de la solidarité humaine – 20 décembre 2020

Journée internationale de la solidarité humaineUne journée dont la célébration est bien appropriée et dont l’idéal s’est exprimé de bien des manières pendant cette période de pandémie mondiale… (Note de l’éditrice)Dans notre calendrier, cette journée a remplacé la journée mondiale de l’humanisme. suggérée à l’origine par l’association des professeurs de lettres classiques du Sénégal (en 2012), mais qui trouvait difficilement son écho dans les médias.

La journée internationale de la solidarité humaine a été décrétée par l’ONU en 2006 (résolution A/RES/60/209), ce qui -si cela ne la rend pas populaire- lui donne au moins une existence « officielle ».

L’ONU et la solution de solidarité

Le concept de solidarité a guidé le travail des Nations Unies depuis la naissance de l’organisation. L’ONU a en effet été fondée sur la base du principe de sécurité collective entre nations qui s’appuie sur la solidarité entre ses membres en vue de « maintenir la paix et la sécurité internationales ».

Dans la Déclaration du Millénaire, adoptée par les États Membres en l’an 2000, la solidarité est définie comme étant l’une des valeurs fondamentales des relations internationales au XXIe siècle… on mesure combien est grande la distance entre le souhait et la réalité !

Les textes onusions l’affirment : « ceux qui souffrent ou qui sont particulièrement défavorisés méritent une aide de la part des privilégiés »

La Journée internationale de la solidarité humaine a été voulue pour nous rappeler l’importance de la solidarité dans les objectifs internationaux, les programmes d’action et les accords multilatéraux.

Plaidoyer pour la solidarité humaine

Publié récemment, cet extrait de Fratelli Tutti mérite qu’on s’y arrête un instant : « L’isolement et le repli sur soi ou sur ses propres intérêts ne sont jamais la voie à suivre pour redonner l’espérance et opérer un renouvellement, mais c’est la proximité, c’est la culture de la rencontre. Isolement non, proximité oui. Culture de l’affrontement non, culture de la rencontre, oui ».

Un site à visiter : www.un.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée Mondiale des pêcheurs artisans et des travailleurs de la mer – 21 novembre

Le 21 novembre 1997, à New Delhi, des travailleurs et travailleuses de la pêche de 33 pays ont créé la journée mondiale ainsi que le forum mondial des pêcheurs et des travailleurs de la pêche, en insistant sur l’importance du regroupement des pêcheurs, une catégorie socioprofessionnelle réputée pour son individualisme.
Composé de groupes tels que le Collectif national des pêcheurs artisans du Sénégal (CNPS), l’Union des pêcheurs des Maritimes (Canada), la CONAPACH (Chili), le Réseau national des pêcheurs du Mexique, et le Forum national des travailleurs de la pêche de l’Inde.

Objectif et avenir

Cette nouvelle organisation vise à défendre et à promouvoir les intérêts des hommes et des femmes qui vivent de la pêche artisanale. Elle permet de mettre en valeur les liens de solidarités qui se sont noués entre les différentes organisations de pêcheurs artisans et de travailleurs de la pêche à travers le monde. Elle permet également de mettre en exergue des questions d’actualités essentielles pour l’avenir du secteur des pêches maritimes.

Les pêcheurs doivent aujourd’hui faire face à une pression grandissante de la part du tourisme, des industries polluantes mais aussi de la part des techniques de pêches destructrices.

Quelques chiffres…

La Chine est le pays comptant le plus grand nombre de pêcheurs, avec 6 millions de professionnels recensés. 94 millions de tonnes de poisson sont pêchées annuellement à travers le monde. Selon les statistiques disponibles au ministère de la Pêche, la production totale de poisson s’élevait à environ 12 085 tonnes en 1999, dont 1 225 tonnes pour la pêche artisanale, contre 18 956 tonnes en 1994.

Source: Texte: Journée mondiale     Images: Scoop.it    Mer et Océan

Journée missionnaire mondiale – 18 octobre 2020

Journée missionnaire mondiale
L’église catholique célèbre chaque année une semaine missionnaire mondiale. En 2020, elle se conclut le dimanche 18 octobre, date retenue pour la « Journée missionnaire mondiale ». Le thème retenu est « Me voici : Envoie-moi ! » (Is 6:8).La journée missionnaire mondiale est fixée chaque année à l’avant dernier dimanche du mois d’octobre.En France, depuis plus d’une trentaine d’années, cette journée est devenue semaine pour donner plus de visibilité aux activités missionnaires dans les diocèses et permettre aux paroisses de vivre cette semaine autour de multiples activités.

Des laïcs engagés en pays de mission

C’est Pauline Jaricot (1799-1862) qui, dés l’âge de 17 ans, s’associe avec de jeunes ouvrières des usines de son père pour travailler à l’Évangélisation par la prière et la mission. Elle met au point un ingénieux système participatif de récolte de fonds (200 ans avant le crowdfunding !): elle crée une chaîne de dix personnes qui mettent un sou par semaine pour les missions, ces 10 personnes en recrutent 10 nouvelles, et ainsi de suite, jusqu’à amasser des sommes considérables pour l’époque.

Le phénomène s’étend dans toute l’Europe et finit par attirer l’attention du Pape qui, le 3 mai 1922, crée l’œuvre de la Propagation de la Foi.

La première Journée missionnaire mondiale… en 1926

Le pape Pie XI crée la Journée missionnaire mondiale en 1926 afin de célébrer « la catholicité et la solidarité universelle ». Il ne fait en fait que reprendre l’intuition initiale de Pauline Jaricot dont le slogan de collecte était : « de la part de tous, selon les possibilités ; à tous, selon les nécessités ! ».

Chaque année, le Pape publie un texte de réflexion à cette occasion, que vous pouvez retrouver dans le site des Oeuvres Missionnaires Pontificales.

Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale contre l’homophobie – 17 mai

 
Journée internationale contre l'homophobieSelon une opinion largement répandue dans les pays occidentaux, l’homosexualité serait aujourd’hui plus libre que jamais: partout présente et visible, dans la rue, dans les journaux, à la télévision, au cinéma, elle serait même tout à fait acceptée, ce dont témoignent apparemment les récentes avancées législatives sur la reconnaissance des couples de même sexe. Certes, quelques ajustements demeurent nécessaires pour éradiquer les dernières discriminations, mais avec l’évolution des mentalités, ce ne serait en somme qu’une simple affaire de temps, le temps de faire aboutir un mouvement de fond lancé depuis plusieurs décennies déjà.
 
Pour l’observateur un peu plus attentif, la situation est globalement bien différente : et à vrai dire, le XXème siècle a sans doute été une des périodes les plus violemment homophobes de l’Histoire : déportation dans les camps de concentration sous le régime nazi, goulag en Union soviétique, chantages et persécutions aux Etats-Unis à l’époque de McCarthy… Evidemment, tout cela peut sembler loin. Mais bien souvent, les conditions d’existence dans le monde d’aujourd’hui restent très défavorables.

L’homosexualité est souvent discriminée

Dans 72 états au moins, les actes homosexuels sont condamnés par la loi (Algérie, Sénégal, Cameroun, Ethiopie, Liban, Jordanie, Arménie, Koweït, Porto Rico, Nicaragua, Bosnie…) ; dans plusieurs pays, cette condamnation peut aller au-delà de dix ans (Nigeria, Libye, Syrie, Inde, Malaisie, Cuba, Jamaïque…); parfois, la loi prévoit la détention à perpétuité (Guyana, Ouganda). Et dans une dizaine de nations, la peine de mort peut être effectivement appliquée (Afghanistan, Iran, Arabie Saoudite…).En Afrique, récemment, plusieurs présidents de la république ont brutalement réaffirmé leur volonté de lutter personnellement contre ce fléau selon eux « anti-africain « . Dans d’autres pays, les persécutions se multiplient. Au Brésil par exemple, les Escadrons de la mort et les skin heads sèment la terreur : 1960 meurtres homophobes ont pu être recensés officiellement entre 1980 et 2000. Dans ces conditions, il paraît difficile de penser que la « tolérance » gagne du terrain. Au contraire, dans la plupart de ces Etats, l’homophobie semble aujourd’hui plus violente qu’hier. La tendance n’est donc pas à l’amélioration générale, tant s’en faut.

Une journée pour la réflexion et l’action
La Journée Mondiale de Lutte Contre l’Homophobie et la transphobie a pour but d’articuler action et réflexion afin de lutter contre toutes les violences physiques, morales ou symboliques liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre.Elle entend susciter, soutenir et coordonner toutes initiatives contribuant à l’égalité entre les citoyens en la matière, et cela dans tous les pays où cette démarche est possible.L’organisation d’une journée de lutte contre l’homophobie et la transphobie dans chaque pays permettra d’inscrire les luttes dans une démarche de solidarité avec toutes les personnes lesbiennes, gaies, bi et trans (LGBT) du monde entier. Mais il s’agit aussi d’inscrire ces luttes dans une démarche plus globale de défense des droits humains.
Un site à visiter : www.homophobie.org      Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée internationale de Nowruz – 21 mars

Jusqu’à présent, vous l’ignoriez ? Pas très étonnant dans la mesure où cette célébration nous vient en droite ligne de l’Asie centrale et est fort peu relayée dans les sociétés occidentales… mais l’Unesco a officiellement proclamé cette journée en 2010 (résolution A/RES/64/253).

Nowruz, jour nouveau

Jour nouveau est la signification du terme Nowruz. Il désigne une très ancienne fête qui marque le premier jour du printemps et le renouveau de la nature. La date du 21 mars n’a donc pas été choisie au hasard. Elle est l’occasion de nombreux rituels, d’événements culturels, de repas festifs partagés avec les proches et en famille. on porte de nouveaux vêtements pour l’occasion, on rend visite à la famille et aux amis, et l’on s’offre des cadeaux…

Depuis plus de 3000 ans

Nous le disions, cette fête est très ancienne dans l’Asie centrale, les Balkans, le bassin de la mer Noire, le Caucase, le Moyen-Orient et d’autres régions. La fête de Nowruz célèbre des valeurs de paix et de solidarité entre les générations et au sein des familles. La fête de Nowruz témoigne de la diversité culturelle de l’humanité et contribue à l’amitié entre les peuples et les communautés de pays différents. Pour cette raison la fête de Nowruz s’inscrit étroitement dans le mandat de l’UNESCO.

Patrimoine immatériel de l’humanité

En 2009, Nowruz a été inscrit comme un élément du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. En 2010, l’Assemblée générale des Nations Unies a institué la « Journée internationale du Nowruz » chaque année le 21 mars. Elle salue les efforts des États membres qui célèbrent Nowruz afin de préserver et de développer la culture et les traditions qui y sont liées. Elle encourage également les États membres à sensibiliser le monde aux valeurs du Nowruz et à organiser des événements pour sa célébration.
Un site à visiter : fr.unesco.org                Source: Texte & Image: Journée mondiale

Journée mondiale des malades – 11 février 2020

La maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades
Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Message du Pape François pour la journée 2020
« Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi je vous soulagerai. » (Mt 11,28).
Les paroles que Jésus prononce indiquent le mystérieux chemin de la grâce qui se révèle aux simples et qui offre un soulagement à ceux qui peinent et qui sont fatigués.

C’est le thème choisi pour la célébration de cette année. (Note de l’éditrice)

 

Source : Texte : Journée Mondiale Images : diocesevalleyfield.org   FarodiRoma

 

 

 

 

 

 

 

 

Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains – 8 février 2020

 Cette journée mondiale a été instituée en 2015 à l’initiative du Pape François.
Le choix du 8 février ne doit rien au hasard puisque cette date correspond à la fête de Sainte Joséphine Bakhita, une Soudanaise qui a été vendue comme esclave, maltraitée puis rendue libre.

Des millions de personnes concernées
Lors de la première édition, le Cardinal Peter Turkson, Président du Conseil pontifical Justice et Paix, avait rappelé que des millions de personnes de par le monde sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage.

Pour ces hommes et ces femmes, sainte Joséphine Bakhita est un modèle d’espérance et l’Eglise Catholique encourage les fidèles à suivre les pas de cette sainte.

De la prise de conscience à l’action
Le Pape désire que les hommes de tous pays et toutes origines prennent conscience d’un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il appelle à une véritable mobilisation contre ce fléau:

Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences:
De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l’action, afin que la traite et les nouvelles formes d’esclavage disparaissent.

 

Source : Texte : Journée mondiale Image : Religious of the Sacred Heart

 

 

 

 

 

 

 

 

Journée mondiale de prière – 6 mars 2020

Chaque année, le premier vendredi du mois de mars, la Journée Mondiale de Prière (JMP) est célébrée dans plus de 170 pays.
La JMP est un mouvement de femmes chrétiennes laïques engagées dans la prière et l’action pour soulager la misère et faire acte de solidarité. Elle est le plus grand et le plus ancien mouvement oecuménique de prière.

Depuis 1887
On attribue généralement la création du mouvement à Mary Ellen James, une américaine de l’église presbytérienne, qui lance alors un appel pour une journée de prière pour la mission aux Etats-Unis.
D’année en année le mouvement s’amplifie et se structure, pour fédérer plus de 100 pays au bout de 100 ans…

Chaque année un pays différent
Les textes de prières sont rédigés chaque année par des femmes d’un pays différent, ce qui est une des particularités de cette journée.
En 2007, des femmes de diverses provenances et de différentes Églises du Paraguay avaient écrit une liturgie sous le titre « Unis sous la tente de Dieu ».

En 2014, ce sont les femmes égyptiennes qui prennent le relais. Elles font partie des différentes communautés chrétiennes (coptes, catholiques et évangéliques) toujours présentes en Égypte. Elles ont travaillé autour du thème de la liturgie « Ruisseaux dans le désert » et la rencontre de la Samaritaine avec Jésus au puits de Jacob.

En 2019, c’est la Slovénie qui est à l’honneur et le thème retenu pour la journée est tiré de l’Evangile de Saint Luc (14:5-24), dans un extrait dans lequel Jésus compare le royaume de Dieu à un banquet. Tous les invités sont excusés ; l’hôte invite les gens qui vivent en marge de la société. Que nous disent les auteurs slovènes ? Quel message lisons-nous de la parabole ? « Venez, car tout est prêt ».

Note de l’éditrice
Et en cette année 2020, les femmes du Zimbabwe ont choisi pour inspirer notre prière le thème: « LÈVE-toi, prends ton grabat et MARCHE ».

Le logo représente 4 personnes en prière, agenouillées et tournées vers les quatre points cardinaux.
Le cercle représente le monde dans lequel nous vivons et la dimension mondiale du mouvement.

 

 Texte : Journée mondiale   Image: www.cahors.catholique.fr