image-i-nations trésor

26th Sunday of Year B

I read and read again the 1st reading of this Sunday (26th Sunday of Year B – Nb.11:25-29)
and the first part of the gospel (Mk.9:38-43)
and… I try to read between the lines –
read the words and the meaning that is hidden there.

The two texts are similar and their message is equally so.
What is depicted there is, unfortunately, something still very much part of our landscape in this 21st century.

We see people trying to jealously keep some prerogatives.
People refusing that some good can be performed by ‘outsiders’.
People who try to prevent others to realize something positive as if it were their sole responsibility to do so.
People who want those in authority to side with them and support their attitude.

All this results in separation, segregation, exclusion, under the pretext:
those others are not from among us!
Power, pride, prejudice – all present there in a shameful display!

“If only the whole people of the Lord were prophets,
and the Lord gave his Spirit to them all!”
 
Moses, the wise leader, has the right answer as he replies to Joshua – an old saying which would serve us well.
If only… we lived according to it.

Note: Another reflection is available on a different theme in French at: https://image-i-nations.com/26e-dimanche-de-lannee-b/

Source: Image: Free Bible Images

Tourner la page…

L’expression est bien connue : ‘Tourner la page’.

Sur un événement douloureux… on tourne la page.
Sur une expérience pénible… on tourne la page.
Sur un échec humiliant… on tourne la page.
Sur un épisode désolant… on tourne la page.
Sur une séparation déchirante… on tourne la page.

L’expression est simple, le geste symbolique – symbolique de ce qu’on doit laisser aller, laisser passer et… oui, passer à autre chose.
Lâcher prise, abandonner, s’abandonner aussi.

On le fait chaque soir, inconsciemment peut-être, avant de s’abandonner au sommeil – on tourne la page sur ce que ce jour a été avec toutes ses activités, ses anxiétés, ses loisirs et ses plaisirs.
Et on le fait aussi… quand, comme maintenant, une année tire à sa fin… on tourne la page…
On laisse derrière soi ce que ces 365 parcelles de vie ont été…

Il se peut qu’on les égrène, une à une pour en revivre les périodes importantes.
On veut parfois s’accrocher aux moments signifiants – toutes ces expériences enrichissantes, ces beaux souvenirs.
Et il y a les autres… les autres moments éprouvants, ceux qui ont provoqué regrets et larmes, ceux-là qui avaient le goût amer de la défaite et qui ont frôlé le désespoir…

Tourner la page, une page toute neuve, toute pure, toute riche de possibilités, où rien n’a encore été écrit.
L’écriture, l’aventure de la vie commencera, recommencera encore une fois ce premier jour de l’année nouvelle pour laquelle on échange tant de bons souhaits : on la veut : Belle, Bonne et Bénie cette Nouvelle Année!

Et elle le sera si, au matin de chaque jour, on se met à l’oeuvre avec confiance, abandon et… une bonne dose de détermination, pour écrire cette nouvelle page avec tout ce qu’elle nous offre d’imprévu et d’opportunité – ce que certains nomment ‘sérendipité’: une rencontre avec ‘Dieu-en-habit-de-camouflage’, a-t-on dit!

Source: Image: OxfordWords Blog

 

 

 

 

Unité…

églises mulitples, www.unitéchrétienne,orgIl y a les arguments, les différends… les tensions, les contradictions…

Il y a les tendances, les préférences…

Il y a les opinions, les intentions – les bonnes et les moins bonnes…

Il y a les divisions, les séparations…

Il y a aussi les aspirations… l’anticipation…

Et il y a surtout, oui surtout, il y a la supplication de Jésus qui a prié:
« Père, que tous soient un comme nous sommes un. » (Jn.17:22)

Et à sa prière, nous joignons la nôtre…