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Journée mondiale du recyclage – 15 novembre

Triez, recyclez, triez, recyclez, les objets ont plusieurs vies… grâce à vous !

La journée du recyclage a été instituée en 1994 aux États-Unis et son objectif principal était alors de promouvoir la consommation de produits fabriqués à partir de matériaux recyclés.

La réflexion actuelle sur le recyclage va plus loin et il s’agit bel et bien d’un enjeu écologique majeur car la production de nouveaux matériaux, comparativement à la réutilisation de matériaux existants constitue une économie essentielle sur le plan énergétique et celui des rejets.

Le saviez-vous ?

  • 75% de nos emballages ménagers sont produits à partir de matériaux recyclés.
  • certains pays (Allemagne par exemple) réutilisent leur bouteilles de verre et d’autres pas (France par exemple)…
Source: Texte (abrégé) : Journée mondiale   Image: Jefferson-recycling.com

 

Journée mondiale des soins palliatifs – 12 octobre

En France, depuis juin 1999, la loi « vise à garantir l’accès aux soins palliatifs » à tout un chacun, sans condition de ressource, de milieu social, de lieu de résidence ou encore de maladie.

En pratique, ce droit semble loin d’être respecté de façon uniforme et repose d’une façon criante un débat éthique dont notre société ne pourra pas faire l’économie très longtemps.

Mourir dans la dignité ?
Ne nous trompons pas de débat… il ne s’agit pas ici de proposer une aide à mourir mais bel et bien des soins qui permettent aux personnes en fin de vie de terminer leur parcours dans la dignité, jusqu’à leur mort naturelle.

Nos comités d’éthiques, nos églises et nos partis politiques se sont légitimement emparés de cette question et il est intéressant de lire leurs écrits: ils en disent long sur leur vision du respect de la dignité de l’homme.
Plus exactement, « L’engagement Citoyen dans l’accompagnement des malades ». C’est le thème retenu pour 2018. A lui seul une invitation au débat et à la réflexion…

Un site à visiter : www.sfap.org   Source : Texte (abrégé) : Journée mondiale Image : McGill University

Bienvenue à l’Association québécoise de soins palliatifs
Notre association regroupe près de 600 membres constituant un réseau d’intervenants, de bénévoles et de professionnels, tous unis pour former une équipe multidisciplinaire dont le patient et ses proches font partie.

Bonne visite!

Texte & Logo : https://qsp.org

Journée Internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition – 23 août

La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition est célébrée le 23 août de chaque année. C’est dans la nuit du 22 au 23 août 1791 qu’a commencé à Saint-Domingue (aujourd’hui Haïti et République dominicaine) l’insurrection qui devait jouer un rôle déterminant dans l’abolition de la traite négrière transatlantique.

La route des esclaves
La Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition vise à inscrire la tragédie de la traite dans la mémoire de tous les peuples. Conformément aux objectifs du projet interculturel  elle doit offrir l’occasion d’une réflexion commune sur les causes historiques, les modalités et les conséquences de cette tragédie, ainsi que d’une analyse des interactions qu’elle a générées entre l’Afrique, l’Europe, les Amériques et les Caraïbes.

Le Directeur général de l’UNESCO invite les Ministres de la culture de tous les États membres à organiser des actions en associant l’ensemble des populations de leurs pays et en particulier les jeunes, les éducateurs, les artistes et les intellectuels.

Note: on peut voir aussi: https://image-i-nations.com/image-symbolique-riche-evocation/

Un site à visiter : portal.unesco.org   Source : Texte & Image: Journée Mondiale  Image (à droite): cunoastelumea.ro

Coupe du monde 2018

Coupe du monde : de la « religion laïque » à « la pastorale du sport »

Pour la Coupe du monde de football en Russie, le Vatican a décidé de ne pas rester sur le banc de touche et publie une réflexion sur le sport afin d′en promouvoir une vision chrétienne. Le Vatican a publié Donner le meilleur de soi, un document qui livre des pistes de réflexion sur le sport.

Un moyen de « mission et de sanctification ».
Le sport est un phénomène universel. Pour le Saint-Siège, il est avant tout un moyen de « mission et de sanctification ». Puisque l′Église est « appelée à être un signe de Jésus » dans le monde, le sport devient une bonne occasion « d′apporter le message du Christ ». D′autant qu′il est possible de le pratiquer dans les paroisses, les écoles ou les associations. Et là, d′en communiquer la joie, la beauté — celle de la Création et de l’être humain, image de Dieu.

Un « signe des temps »
Tous les papes du XXe siècle — de saint Pie X au pape François en passant par saint Jean Paul II — ont considéré le sport comme un « signe des temps ». Par son phénomène de masse et sa portée universelle, il a été développé dans toutes les cultures. Le sport est devenu un « langage universel » compris par tous. Il faut savoir s′en saisir.

Une « Cour des gentils » modernes
Le sport représente une sorte de « Cour des gentils » moderne. La « Cour des gentils », pour les Juifs, était l’espace du Temple de Jérusalem réservé aux gentils, c′est-à-dire les non-Juifs, qui souhaitaient s’approcher du lieu le plus sacré du judaïsme, sans pouvoir accéder à l’enceinte intérieure du Temple. Ainsi, le Vatican reconnaît cette vertu au sport : la possibilité d′approcher Dieu sans le connaître nécessairement.

Source: Texte: Paul de Dinechin, 18 juin 2018, fr.aleteia.org   Image: icelandnews.is

 

Ça, ça m’interpelle – 3è épisode

La philosophie!
Bien des gens s’y intéressent, pour d’autres, ça n’a rien d’attirant –
et pourtant, si ç’était d’une importance capitale
et ce dès le jeune âge.
Marie-Claude Bouchard nous en parle
dans la vidéo qui suit.

 

2è dimanche de Pâques, année B

Les lectures bibliques proposées pour les célébrations du temps pascal sont riches de thèmes pouvant soutenir notre réflexion.
Les personnages des récits bibliques apparaissent tour à tour et leur expérience personnelle a beaucoup pour nous inspirer.
Leur rencontre avec le Ressuscité peut susciter de nombreuses questions ainsi que de l’émerveillement spontané.

En ce qui me concerne, l’évangile du 2è dimanche de Pâques (année B – Jn.20:19-31)
réveille en moi une… sagesse humaine autant que spirituelle!
Et c’est le personnage de l’apôtre Thomas qui contribue à cet éveil.
À la fin de la première partie du texte de l’évangile il est dit :

« Or, l’un des Douze, Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau),
n’était pas avec eux quand Jésus était venu. »

 
Thomas n’était pas là – affirmation simple, factuelle, ordinaire : il était absent !
On peut facilement spéculer sur toutes les raisons possibles de cette absence – ce ne seront toujours que des spéculations.
Le fait est que Thomas a manqué une occasion bien spéciale : la visite de Jésus ressuscité, rien de moins !
Et, fait encore plus intéressant, Thomas ne veut absolument pas y croire.
Il exprime son refus et son incrédulité en termes qui ne laissent aucun doute sur sa position :

« Il déclara :
« Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous,
si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous,
si je ne mets pas la main dans son côté,
non, je ne croirai pas ! »

Des auteurs spirituels se hâteront d’affirmer que Thomas met des conditions pour croire,
oui, il met… des conditions à Dieu !
Avouons qu’il n’est pas le seul !
Et ce qui en découle est tout simplement merveilleux !

Car, il était bien présent la fois suivante et…
Il obtient une révélation personnalisée et nous laisse une proclamation de foi inédite !
« Mon Seigneur et mon Dieu ! »
Une proclamation de foi qui dure depuis 20 siècles – il n’y en a pas beaucoup – elle devrait nous être précieuse…
 
Cette scène représente ce que je considère ‘une occasion manquée transformée en expérience absolument unique’.
Sagesse humaine ? Oui, et sagesse spirituelle authentique.
Une attitude à s’approprier et à répéter personnellement !

Note: Une autre réflexion est disponible en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/2nd-sunday-of-easter-year-b/

Source : Image : rezaconmigo.com

Journée mondiale du travail invisible – 3 avril

Donner de la visibilité à de l’invisible, tel est le challenge relevé par cette journée mondiale d’origine canadienne, célébrée depuis quelques années déjà*. 

Mais qu’est-ce que le travail invisible ?
Si vous cherchez quelque chose de louche, de glauque, de honteux… vous n’y êtes pas du tout !

On parle habituellement du travail invisible dans le cadre familial avec le travail des mères de familles, essentiel et pourtant toujours aussi méconnu. Son qualificatif d’invisible lui vient du fait que sa valeur n’est pas reconnue ni comptabilisée dans les comptes nationaux comme par exemple le PIB (produit intérieur brut).

D’après l’association canadienne Afeas à l’origine de cette réflexion, on estimait déjà, en 1995, à 11 000 milliards de dollars américains la valeur annuelle du travail invisible et non rémunéré des femmes à travers le monde (source ONU).

Une journée pour donner de la visibilité
Difficile de changer le cours des choses en la matière… espérons tout de même qu’une telle journée permettra à tous de mieux comprendre et apprécier la valeur de ce travail « invisible ».

* la date retenue par l’Afeas est en principe le premier mardi de chaque mois d’avril.

Source: Texte: http://www.journee-mondiale.com/379/journee-mondiale-du-travail-invisible   Image: YouTube

Journée mondiale des malades – 11 février

Historique
Célébrée le 11 février de chaque année, la Journée mondiale des malades (JMM) nous invite à la solidarité avec les personnes qui, autour de nous, expérimentent la dure réalité de la maladie et de la souffrance. Sous l’inspiration de Jean-Paul II, cette journée rappelle la dignité de toute personne, malade ou âgée.

JE SUIS LÀ
Quel réconfort et quel  soulagement avons-nous lorsqu’un proche, un ami nous dit « Je suis là ».  Quelle consolation lorsque ces mots deviennent une expérience de vie, une conviction intérieure que quelqu’un est là pour nous.

La Journée mondiale des malades du 11 février 2018 propose une réflexion sur la confiance qui peut se tisser dans le parcours d’une vie. Au fil du quotidien de nos joies, de nos peines, de nos maladies, il est possible de s’appuyer sur une présence bienveillante qui nous dit : Je suis là. 

Les images et le texte de la carte veulent rendre compte de la richesse de cette réflexion.

Source: Texte & Illustration: CHU de Québec, Université Laval

Le carnaval… Les masques

Tout est prêt! Le Carnaval est à nos portes – ou du moins aux portes de RIO !
C’est une célébration annuelle qu’il ne faut pas manquer car suivra de près… le Carême!
Perspective plus austère, monastique, diront certains.

Il y a un élément souvent associé au Carnaval, un élément intéressant, intriguant : ce sont les MASQUES.
À travers l’histoire, les masques sont présents – présents dans différents cultures.
Présents aussi dans l’art, particulièrement celui de la scène : théâtre, opéra.
D’âge en âge, le masque a été utilisé pour dissimuler un visage et en représenter un autre.
Il pouvait être un objet associé au divertissement ou à un rituel particulier.

Voilà que dernièrement, ma pensée sur ce sujet a été stimulée par un livre intitulé : Les masques de Dieu, (Olivier Le Gendre).

La lecture terminée, j’ai poursuivi ma réflexion…
Il n’est déjà pas facile de connaître Dieu, se pourrait-il que notre recherche pour découvrir sa présence soit rendue plus compliquée du fait qu’il se dissimule derrière un masque, des masques?!

Et si ce n’était pas lui qui se cachait mais nous qui lui prêtions des masques?
Et ceux-ci peuvent être d’une multiplicité effarante…

  • Le masque du Dieu lointain et indifférent à ce que nous vivons…
  • Le masque du Dieu qui épie nos moindres actes pour en relever les imperfections…
  • Le masque du Dieu exigeant et jamais satisfait de notre performance…
  • Le masque du Dieu facilement en colère à nos prétendus manques de respect…
  • Le masque du Dieu justicier d’une justice qui nous demeure impénétrable…
  • Le masque du Dieu bon grand-papa toujours prêt à satisfaire nos caprices…
  • Le masque du Dieu que l’on peut apaiser avec des rituels strictement fidèles aux prescriptions…
  • Le masque du Dieu qui est l’idole de notre imagination édifiée à la mesure de nos désirs…

Je vous laisse le loisir d’ajouter à cette liste, car il est toujours possible d’en créer de plus astucieux et aussi faux les uns que les autres!

Mais Dieu peut-il être aperçu sans être caché, pire encore défiguré par des masques?
Le visage de Dieu est-il visible quelque part sans masque?

Oui, cette image sans caricature et sans bavure nous est offerte, non, donnée, directement, précisément, éternellement.
Donnée par celui-là même qui en est l’effigie humaine incarnée (Col.1:15).

La peinture verbale, unique, que lui continue de nous donner est nulle autre que celle que l’on trouve dans le texte de l’évangile de Luc au chapitre 15, versets 11 à 32 –
tous les masques à jamais disparus, devenus sans signification, inutiles!

Source: Images: riocarnaval.org   mrpgvwrinkler.wordpress.com   theatrelitwiki.wikispaces.com

La Journée mondiale contre la traite des personnes – 8 février

En 2015, le Pape François institua le 8 février, fête de Ste Bakhita, * comme Journée internationale de prière et de sensibilisation contre la traite des êtres humains (JMPT).

La journée est célébrée chaque année le jour où nous nous souvenons de la mémoire liturgique de Sainte Bakhita, qui a connu dans sa vie les souffrances de l’esclavage.

La Journée mondiale de prière et de réflexion contre la traite des personnes (GMPT), qui sera célébrée le 8 février 2018, aura pour thème : « Migration sans trafic. Oui à la liberté! Non au chemin! 

Vous êtes invité à allumer une bougie pour ces frères et sœurs victimes de la traite humaine et un signal de notre engagement à lutter contre la traite. Allumons surtout nos cœurs et nos vies afin d’être une lumière accueillante qui donne de l’espérance dans nos rencontres. 

Source : Texte & Illustrations: renate-france.wordpress.com

Note: RENATE (Religious in Europe Network Against Trafficking and Exploitation) dont la traduction en français est Religieuses en Europe coNtre lA Traite et l’Exploitation présent dans plus de 20 pays. 

* Sainte Joséphine Bakhita était une Soudanaise qui a été vendue et revendue cinq fois sur les marchés comme esclave, maltraitée et fut finalement libérée. Elle a été canonisée par le Pape Jean Paul ll en 2000.

Source: Image: dowym.com