Une nouvelle parabole moderne
présentée cette fois par Diane Laverdure.
Elle conclut cette série de programmes intitulés
‘Un message pour toi’
avec un message on ne peut plus pertinent…
Une nouvelle parabole moderne
présentée cette fois par Diane Laverdure.
Elle conclut cette série de programmes intitulés
‘Un message pour toi’
avec un message on ne peut plus pertinent…
En 2016, on comptait au Canada entre 564,000 et 745,000 personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. *
Une condition pénible pour elles et également lourde pour ceux et elles que l’on nomme les ‘aidants naturels’.
L’une d’elle (personnifiée par Carmen Delage) nous partage son expérience.
* Source: ici.radio-canada.ca
« Il vit et il crut. »
Cela semble si facile, si clair, si simple, si évident!
Non? Euh… pas exactement.
Parce que, en fait, Jean n’a PAS cru ce qu’il a vu mais… ce qu’il n’a pas vu!
Jean n’a pas vu Jésus ressuscité – tout ce que lui et Pierre ont pu voir c’était des linges :
« les linges, posés à plat,
ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus,
non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place ».
C’est ce que nous dit l’évangile de ce dimanche de Pâques (année B – Jn.20:1-9).
Il est intéressant de noter comment ce passage est détaillé – comme si les détails pouvaient conduire à… la foi !
Non, la foi a été suscitée, elle a surgit avec force de l’intérieur.
Et ce jaillissement a entraîné la compréhension qui avait manqué jusqu’à ce moment.
« Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas compris que, selon l’Écriture,
il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts. »
Je trouve ce passage intéressant, oui, mais surtout encourageant –
encourageant parce que, d’une certaine façon, nous sommes dans une situation semblable.
Il nous faut précisément croire ce que nous ne voyons pas !
Et pour nous, comme pour eux, la foi jaillira de l’intérieur.
Si seulement nous permettons à l’Esprit de nous révéler le sens des Écritures…
Ce sens dont nous sommes toujours à la recherche au fil des jours et des expériences de notre quotidien.
Note: Une autre réflection est offerte en anglais sur un thème différent à: https://image-i-nations.com/easter-sunday-year-b/
Historique
Célébrée le 11 février de chaque année, la Journée mondiale des malades (JMM) nous invite à la solidarité avec les personnes qui, autour de nous, expérimentent la dure réalité de la maladie et de la souffrance. Sous l’inspiration de Jean-Paul II, cette journée rappelle la dignité de toute personne, malade ou âgée.
JE SUIS LÀ
Quel réconfort et quel soulagement avons-nous lorsqu’un proche, un ami nous dit « Je suis là ». Quelle consolation lorsque ces mots deviennent une expérience de vie, une conviction intérieure que quelqu’un est là pour nous.
La Journée mondiale des malades du 11 février 2018 propose une réflexion sur la confiance qui peut se tisser dans le parcours d’une vie. Au fil du quotidien de nos joies, de nos peines, de nos maladies, il est possible de s’appuyer sur une présence bienveillante qui nous dit : Je suis là.
Les images et le texte de la carte veulent rendre compte de la richesse de cette réflexion.
En regardant les textes proposés à notre réflexion, dimanche après dimanche, il arrive que l’une des lectures retienne mon attention.
Souvent un aspect se présentera avec plus d’insistance comme offrant un message approprié pour le moment.
En d’autres occasions, ce qui s’impose c’est plutôt une considération à vol d’oiseau, pour ainsi dire.
C’est le cas aujourd’hui, en ce 3è dimanche de l’année B.
La 1ère lecture (Jon.3:1-5,10), l’épitre de Paul aux Corinthiens (1 Co.7:29-31) et l’évangile (Mc.1:14-20) – les trois textes présentent un appel à un groupe de personnes et cet appel exige un détachement.
Je pressens, non, je suis convaincue, que le Seigneur ne cesse d’appeler et d’interpeller.
Il continue d’appeler à le suivre et ses appels exigent un détachement.
Un appel personnalisé et un détachement qui ne l’est pas moins!
Je réfléchis pour les identifier au quotidien…
Et… je vous laisOnse à votre propre réflexion sur ce sujet…
Une réflexion en anglais sur un autre thème est disponible à: https://image-i-nations.com/3rd-sunday-of-the-year-b/
Dieu nous demande différentes choses à différents moments – il est Dieu !
Mais il demande parfois des choses… inédites, surprenantes !
Dans la première lecture d’aujourd’hui (Fête de la Sainte Famille, année B – Gn.15:1-6),
Dieu dit à Abram : « Compte les étoiles… si tu le peux. »
En cette saison de Noël, des étoiles nous en retrouvons un peu partout :
suspendues à nos sapins, scintillantes dans les vitrines des magasins, façonnées en pâtisseries alléchantes.
Et, bien sûr, il y a celle qui éclaire la crèche du Nouveau-Né.
La lumière des étoiles du ciel semble parfois lointaine éclipsée par les néons des grandes villes.
Mais qu’en est-il des… étoiles de nos vies?
Vous arrêtez sans doute la lecture de ce texte pour vous demander : ‘Quelles étoiles?’
Le Psaume (Ps.105:1-9) en parle à deux reprises : « Les merveilles du Seigneur. »
On les oublie souvent avec toutes les occupations et les préoccupations qui nous accaparent.
Et pourtant, elles sont bien là, bien réelles, à chaque tournant de nos journées remplies de soucis qui en cachent parfois la luminosité.
Il est bon de prendre quelques moments pour les reconnaître, les apprécier et en remercier le Seigneur « fidèle à sa promesse » (2è lecture – He.11:11).
Et en cette Fête de la Sainte Famille, peut-être pouvons-nous reconnaître les étoiles que sont nos proches en qui nous trouvons affection, soutien, réconfort, et tant d’autres choses bien précieuses.
Oui, elles sont là, vos étoiles bien à vous, uniques, au firmament de votre quotidien!
Nos conversations quotidiennes font un usage répété du petit mot TRANS – nous parlons de TRANSit, de TRANSfer, de TRANSition, de TRANSaction, et…de traité TRANSatlantique – pour ne nommer que les plus courants.
Nous décrivons ainsi un passage d’un endroit à un autre, d’une situation à une autre, d’une condition à une condition différente.
C’est justement ce que l’évangile de ce 2è dimanche du Carême nous propose (Mt.17 :1-9).
S’il fallait en formuler le thème, je l’exprimerais ainsi : ‘Une transfiguration pour une transformation.’
La transfiguration de Jésus qui appelle, inspire, suscite notre propre transformation.
Ce Jésus de tous les jours, familier pour ces hommes bien ancrés dans le réel que sont les apôtres, ce Jésus à qui, lors de la tempête, ils osent dire : « Cela ne te fait donc rien que nous périssions! » (Mc.4 :38).
Ou encore, lors du miracle de la femme qui perdait du sang, expriment l’évidence : « Une foule t’entoure qui te touche et tu demandes ‘Qui m’a touché’? » (Mc.5 :31).
Ce Jésus a fait place à un autre, un autre à peine reconnaissable, un autre dans une lumière éclatante, une gloire resplendissante.
Devant ce changement soudain, ce renversement du quotidien, les apôtres sont ébahis, un peu perdus, Pierre, d’ordinaire plutôt loquace, ne sait plus quoi dire!
Et voilà que la scène disparaît déjà, il faut redescendre si tôt de la montagne où… tout était différent et… tellement plus encourageant que l’ordinaire trop connu et parfois hostile.
Mais, désormais… les choses, les situations, les événements ne seront plus les mêmes.
Il y a désormais la possibilité de la transformation pour nous, en nous, que propose le Carême : passer de l’indifférence à l’engagement, de la peur à l’audace, du doute à la foi, du désespoir à l’espérance, de l’oubli à la fidélité, de la distraction à la contemplation, le passage de… tant de réalités négatives à tant d’autres positives et ‘TRANSformantes’!
Mais il faut faire ce ‘passage’ où se trouvant sur le seuil du familier il faut oser faire ce pas vers l’inconnu… qui effraye mais qui est prometteur, non, plutôt porteur, de tout ce que l’on peut désirer!
CARÊME : période de TRANSit? Pourquoi pas?!