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Journée internationale des infirmières – 12 mai 2021

La Journée internationale de l’infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l’art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d’infirmiers et d’infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

Qui est Florence Nightingale ?
Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l’infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l’importance d’une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu’ « une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d’études, d’enseignement, d’entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients. »

Objectif
Durant la Journée internationale de l’infirmière, la FSSS-CSN (Fédération de la santé et des services sociaux de la Confédération des syndicats nationaux), qui représente près de 100 000 syndiqué(es) du réseau de la santé et des services sociaux, souhaite qu’une meilleure organisation du travail dans les soins infirmiers diminue les surcharges de travail et les burn-out dont sont victimes, entre autres, les infirmières. Ces femmes représentent plus du tiers de la main-d’œuvre du réseau de la santé et travaillent dans des conditions difficiles en raison de la pénurie de main-d’œuvre.

Note de l’éditrice: En cette période de pandémie elles ont été – et elles demeurent – nos héroïnes et nous leur sont bien reconnaissant/es. Et bien que le texte mette l’accent plutôt au féminin, notre appréciation va également à tous les infirmiers généreux et dévoués.

Un site à visiter : www.infirmiers.com      Source : Texte: Journée Mondiale   Image: convergenceinfirmière.com

 

 

Journée mondiale du kératocône – 10 novembre

Cette journée mondiale est, pour le moment, très peu connue en France et sa célébration semble bien être limitée aux Etats-Unis où elle est connue sous le nom « World KC Day », comprenez World Kératocone Day.

Une maladie peu connue

Le kératocône est dû à une déformation de la cornée (il s’agit du revêtement transparent de l’iris et de la pupille de l’oeil) qui s’amincit progressivement, perdant ainsi sa forme sphérique normale pour prendre une forme de cône irrégulier, causant ainsi des troubles importants de la vision.
La maladie est souvent diagnostiquée à la fin de l’adolescence et le défaut de vision est ensuite traité par le port de lentilles spécialisées.

Une journée pour une meilleure visibilité

Le site internet américain de la journée nous en apprend un peu plus sur les buts de la journée :

  • Encourager les personnes atteintes par la maladie à partager leurs histoires personnelles à propos du kératocône.
  • Mieux informer les patients, les amis, la famille et le grand public au sujet du kératocône
  • Encourager les actions mises en places par toutes les associations qui se sont mises en place pour lutter contre le kératocône.
Un site à visiter : worldkcday.com    Source:  Texte & Image: Journée mondiale

Un ange… sans ailes

Pendant la période de Noël qui s’achève, plus d’une fois, les lectures bibliques nous présentaient des anges. On les imagine de bien des manières, ces créatures ailées… Mais je connais aussi des anges… sans ailes! En voici un!

 

L’ange qui, en secret, paie les factures d’hôpital des patients.

Au Nigéria il y a peu de services médicaux qui soient gratuits et, si vous ne pouvez payez votre compte de frais pour hospitalisation, on ne vous permet pas de quitter les lieux. Qui aidera? Dans cette société profondément religieuse, bien des patients espèrent une intervention divine. 

Zeal Akaraiwai n’a pas les ailes d’un ange – il a une élégante Mercedes.

Ce consultant d’une quarantaine d’années bien vêtu sort de son auto garée entre les de nids de poules dans le stationnement de l’hôpital du gouvernement. Il est accueilli chaleureusement par un groupe de travailleurs/travailleuses sociaux et il se met immédiatement à l’œuvre.

Il demande « la liste » On lui remet le nom des patients qui sont suffisamment rétablis pour retourner chez eux mais qui ne peuvent partir n’ayant pas acquitté ce qu’ils doivent.

Aujourd’hui, Zeal se rend visiter chacun de ceux/celles dont le nom apparaît sur cette liste. Il se rend ensuite à la caisse et paie les frais d’hospitalisation de huit patients.

Zeal ne garde pas contact avec les gens qu’il aide. Il ne veut même pas être remercié. Mais il y a une chose qu’il aimerait en retour – c’est qu’un jour quelqu’un puisse raconter un récit à son sujet – le récit que lorsque la personne était hospitalisée, un ange est venu, a payé son compte et… est reparti.

C’est pourquoi je nomme ce projet: ‘Le projet de l’ange’, dit-il. Soyez l’ange que vous espérez rencontrer!

Source : Texte & Images: résumé de l’article de: BBC The 'angel' who secretly pays patients' hospital bills, Linda Pressly BBC News, Lagos 21 December 2018

Journée Mondiale des donneurs de sang – 14 juin

Tantôt appelée Journée Mondiale des donneurs de sang, tantôt Journée mondiale du don de sang, elle a pour objectif de sensibiliser les populations aux enjeux des dons de sang. Elle a été lancée en 2004 par l’OMS.

Dans le monde, huit personnes sur dix n’ont pas accès à la sécurité transfusionnelle.

Le monde a besoin de sang neuf
Grâce aux dons de sang anonymes et sécurisés de millions de personnes, des milliers de vies sont sauvées chaque jour. Mais la possibilité de recevoir une transfusion de sang, qu’elle soit sécurisée ou non, varie énormément d’un pays à l’autre. Les besoins de 18 % de la population mondiale monopolisent 60 % de l’offre mondiale, ce qui laisse les 82 % restant sans couverture satisfaisante.

La Journée mondiale du don de sang est à la fois une journée de réflexion et l’occasion de remercier tous les donneurs de sang volontaires et réguliers dans le monde. Tout le monde ou presque peut aider à sauver des vies, soit en devenant un donneur régulier soit, si c’est impossible pour des raisons médicales, en apportant une aide bénévole les jours de collecte du sang.

Comme le reconnaît le Dr LEE Jong-wook, directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) : « La sécurité transfusionnelle est un besoin fondamental dans les systèmes de santé de tous les pays. Les 192 États Membres ont récemment convenu de célébrer officiellement chaque année la Journée mondiale du don de sang. On contribuera ainsi à sensibiliser les populations au besoin permanent d’avoir du sang sécurisé et des donneurs sûrs. » 

L’OMS et d’autres organisations ont préconisé des stratégies claires pour développer l’accès universel à la sécurité transfusionnelle. Celles-ci reposent sur la promotion du don de sang régulier, volontaire et non rémunéré et sur la coordination nationale des services de transfusion sanguine.

Le sang contaminé par le VIH continue d’être à l’origine d’environ 5 % des infections à VIH en Afrique. Alors que dans de nombreux pays, on pratique de plus en plus de tests pour sécuriser le sang, la plupart des pays en développement ne recherchent ni le VIH, ni l’hépatite B ou C. Chaque année, six millions de recherches d’infections qui auraient dû être pratiquées ne sont pas effectuées.

La Journée mondiale du don de sang rend hommage à tous ceux qui ont permis directement de sauver ou d’améliorer la vie de millions de patients en donnant régulièrement et volontairement leur sang. C’est aussi une demande pressante faite à tous les pays du monde pour qu’ils valorisent les donneurs sûrs et ne ménagent aucun effort pour garantir la sécurité transfusionnelle et ainsi sauvegarder la vie des patients.

Source : Texte (abrégé): Journée Mondiale Image : iStock

World Blood Donor Day – 14 June

The history of blood donation goes back further than you might expect, reaching as far back as the 17th century. The medical specialists of
the time knew that blood was a vital element in the body and losing too much of it was bound to have tragic consequences on the patient. So it was that experimentation began, and a whole new breed of heroes was born that contribute their blood so that others may live. Blood Donors save lives every day by giving of themselves so those accident victims and those in need of transfusions for surgeries can live.

History of World Blood Donor Day
The first transfusions were done using poorly understood science and resulted in some rather tragic results for the patients. Richard lower was the first one to examine animals and blood circulation and finding ways to stop blood clotting. While he was of course only working with animals, he managed to drain the blood off of a medium sized dog and then transfuse the blood of a large mastiff into the smaller animal. Both dogs recovered with no appreciable ill effects.

So it was that he gained great notoriety for his efforts, and was asked to speak on and teach this technique to the Royal Society. There were some odd beliefs about blood back then, and the first human transfusion involved putting the blood of a sheep into a patient who was suffering from a mild form of insanity. It was thought that perhaps the blood of so gentle a creature as a lamb might help to calm his insanity. The act of transferring animal blood into patients was strongly questioned by the tightly superstitious and morally rigid authorities of the time, and the practice was outlawed. Vanishing for 150 years.

It was an obstetrician that brought blood transfusions back into modern medical technology, starting in 1818. After he saved the life of a woman who had hemorrhaged terribly after giving birth, he started publishing works on how it was done and the study thereof. Throughout his life, he performed 10 transfusions, 5 of which saved the lives of the recipients.World Blood Donor Day celebrates the hard work and daring of these early medical professionals and recognizes the efforts they put into developing a technology that saves so many lives today.

Source: Text: www.daysoftheyear.com Image: iStock

International Nurses Day – 12 May

The tireless efforts of nurses all over the world are celebrated every year on May 12, the anniversary of Florence Nightingale’s birth in 1820.

Nurses are appreciated in many different ways on International Nurses Day, also called IND. People are encouraged to take time to thank a nurse who has been there for them or their loved ones during days of sickness.

The United Nations (UN) and the World Health Organization (WHO) use IND to focus attention on the important task of recruiting and training nurses worldwide. Estimates show that worldwide, we will be short 18 million health workers by 2030 unless serious action is taken to recruit and train more.

In the UK, there is a ceremony in Westminster Abbey in London on Nurses Day.

Background
In 1953, an official with the US Department of Health, Education and Welfare, Dorothy Sutherland, asked President Dwight D. Eisenhower to proclaim a Nurses Day. However, the president did not do so at the time.

Since 1965, the International Council of Nurses has celebrated nurses May 12, which was Florence Nightingale’s birthday. She is widely considered the founder of modern nursing. In January 1974, this day was finally officially made International Nurses Day.

Symbols
During the annual service in Westminster Abbey, nurses pass a symbolic lamp between themselves and onto the High Altar. This signifies the passing of knowledge from one nurse to another. Florence Nightingale was nicknamed the “Lady with the Lamp” by her patients during the Crimean war in the 1850s, and she is often depicted carrying a lamp.

The official symbol for nurses is a serpent entwined around a staff, an ancient Greek symbol associated with healing the sick.

Source: Text: timeanddate.com Images: pl.freepik.com   Pinterest.com

 

 

Journée Internationale de l’infirmière – 12 mai

La Journée internationale de l’infirmière est célébrée dans le monde entier le 12 mai, jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale.

C’est une occasion pour réaffirmer son attachement à vouloir améliorer les conditions de travail des professionnels de l’art infirmier. En effet, la pénibilité de ce métier, notamment dans les hôpitaux, est intenable au point que nombre d’infirmiers et d’infirmières quittent la profession au bout de quelques années, créant par là même, une réelle pénurie auprès du patient, ce qui aggrave encore les conditions de travail.

Qui est Florence Nightingale ?
Florence Nightingale a posé les bases de la profession infirmière contemporaine. Ses contributions sont nombreuses : elle a été la première personne à définir que chaque patient a des besoins individuels, que le rôle de l’infirmière vise à satisfaire ces besoins et elle a pris en compte les dimensions santé-maladie des soins infirmiers. Elle a fait des soins infirmiers une occupation respectée en établissant une formation, en soulignant l’importance d’une éducation continue, et en distinguant les soins infirmiers de la médecine. Elle croyait qu’ « une bonne pratique infirmière ne grandit pas seule; elle est le résultat d’études, d’enseignement, d’entraînement, de pratique, qui se finalise dans une base solide qui peut se transférer dans tous les milieux, auprès de tous les patients.

“En plus de compétences très pointues, altruisme, compassion sont les qualités humaines requises pour ce métier„  (Le Magfemmes)

Un site à visiter : www.infirmiers.com      Source : Texte & Image : Journée Mondiale

 

Journée Mondiale de l’hémophilie – 17 avril

Chaques année, le 17 avril, l’Association Française des Hémophiles (AFH) célèbre la Journée Mondiale de l’Hémophilie, avec pour objectifs de sensibiliser un large public aux réalités d’une maladie peu connue et de mobiliser le plus grand nombre en faveur de l’intégration des patients.

Cette journée correspond à la date de naissance, en 1926, de Frank Schnabel, québécois, fondateur de la Fédération Mondiale de l’Hémophilie et a été consacrée comme date de la Journée Mondiale.

Ce qu’en dit la science
L’hémophilie est une maladie hémorragique héréditaire due au déficit d’une protéine de coagulation, habituellement présente dans le plasma. Elle se transmet de façon hériditaire de père en fille et de mère en fils.

Son incidence est de 1 à 2 pour 10 000 naissances mâles (environ 5000 hémophiles en France). La personne hémophile manque d’un élément qui participe à la formation d’un caillot solide dans le processus de coagulation (facteur VIII pour l’hémophilie A ou facteur IX pour l’hémophilie B). Elle ne saigne pas plus qu’une autre, mais plus longtemps car l’hémostase n’est pas complète et le caillot ne « tient » pas. Selon la localisation de l’hémorragie (externe, interne, intramusculaire profonde, intra-articulaire), l’hémostase doit être assistée par l’injection d’une dose suffisante du médicament antihémophilique habituel, aussi longtemps que la cicatrisation n’est pas assurée durablement.

L’hémophilie et l’avenir ?
La forme majeure de l’hémophilie touche en France près de 5000 personnes. En prenant en compte les formes les plus sévères de la maladie de Willebrand, très proche de l’hémophilie, et les autres maladies de la coagulation, on estime en France à 15 000 le nombre de personnes affectées par un processus de coagulation défaillant.

L’existence de traitements de plus en plus sophistiqués et l’amélioration des conditions de vie des patients qui l’accompagne ne doivent pas masquer la persistance de réelles contraintes : des traitements aux modes d’administration parfois complexes (intraveineuses) et une fragilité naturelle nécessitant une attention soutenue.

Un site à visiter: www.wfh.org   Source: Texte & Image: Journée mondiale       2è Image : Dreamstime.com

Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme – 2 avril

Le 2 avril a lieu la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme. Elle vise à mieux informer le grand public sur les réalités de ce trouble du développement. L’autisme est une réalité très présente dans la mesure où ce type de handicap touche 1 personne sur 150 dans le monde.

La France compte environ 430 000 personnes atteintes d’autisme à des degrés divers, dont 25% d’enfants. Le gouvernement français a mise en place un « plan Autisme » sur 2008-2011, qui vise tout d’abord l’augmentation de la capacité d’accueil en établissements spécialisés et sur la diversification des méthodes de prise en charge et de dépistage précoce.

Mobiliser les acteurs
Une des difficultés rencontrée par les parents d’enfants présentant des troubles de ce type réside dans l’établissement du diagnostic et la mise en place d’une prise en charge efficace. Le monde médical est encore aujourd’hui trop divisé et les différents intervenants ont du mal à s’accorder.

A ce titre, les psychomotriciens adressent aux enfants et aux familles un message de soutien, en espérant que la mobilisation voulue pour la journée mondiale puisse continuer à sensibiliser un maximum d’acteurs autour de cette cause.

« En attendant une reconnaissance plus juste et de moyens à la hauteur, nous continuons nos démarches éducatives, rééducatives et thérapeutiques pour soutenir au mieux nos patients ». 

Un site à visiter : www.fondation-autisme.org         Source : Texte & Images : Journée Mondiale

Le trouble du spectre autistique (TSA) a d’importantes répercussions sur bon nombre de Canadiens et leurs familles…

Selon le rapport, le TSA est présent chez 1 jeune canadien de 5-17 ans sur 66 et touche cinq fois plus de garçons que de filles; ces constatations sont conformes à celles observées dans d’autres pays.

Source : Texte : Gouvernement du Canada

 

Journée mondiale des soins palliatifs – 14 octobre

Qu’est-ce que la journée mondiale des soins palliatifs ?
La journée mondiale des soins palliatifs est une journée unitaire d’action qui promeut et soutient les soins palliatifs dans le monde entier.

Pourquoi une journée mondiale des soins palliatifs ?
Tous les ans, des millions de malades en phase terminale éprouvent des douleurs et une détresse inutiles, parce qu’ils ne connaissent pas les soins dont ils ont besoin ou bien ne peuvent pas y accéder. Des soins palliatifs de grande qualité ont pour objectif de prendre en charge les besoins de la personne dans leur globalité : ils peuvent apporter une réponse à la souffrance des personnes malades ou en fin de vie ainsi qu’à leur entourage.

Parce que la question de la fin de la vie nous concerne tous, parce que nous voudrions tous pour nous-même, et pour ceux que nous aimons une fin de vie paisible et confortable, la journée mondiale des soins palliatifs chercher à mobiliser chacun et chacune, sur les cinq continents, pour :

Affirmer notre volonté de rendre les soins palliatifs plus accessibles partout dans le monde, en expliquant les problèmes qui empêchent cet accès aujourd’hui. Nous voulons influencer ceux qui font l’opinion publique et ceux qui définissent les programmes de santé et ceux qui les financent.

Augmenter la prise de conscience et la compréhension des besoins — médicaux, sociaux, pratiques, spirituels — des personnes qui vivent avec une maladie terminale et celle de leurs familles. Expliquer comment les soins palliatifs peuvent transformer la vie des gens et montrer comment ils aident à répondre à ces besoins.

Lever des fonds pour le soutien et le développement des soins palliatifs à travers le monde.
Battre en brèche certaines idées reçues :
La journée mondiale des soins palliatifs est l’occasion de faire reculer les clichés qui circulent sans raisons.

Notre but n’est pas d’aider une personne à mourir, mais plutôt d’aider les malades à vivre de la manière la plus confortable possible avec leur maladie. Les malades sont des personnes vivantes à part entière et non pas des patients en sursis ou des mourants.

Les soins palliatifs ne se limitent pas simplement au soulagement de la douleur et des symptômes, bien que ce soit là une partie très importante des ce type de soins. La démarche palliative une approche holistique (globale) qui respecte les désirs des individus et qui les aide de façon la plus adaptée possible, au plan personnel mais aussi culturel.

Les soins palliatifs ne sont pas lourds à mettre en œuvre : ils sont flexibles et adaptables. Dans beaucoup de situations, les soins peuvent êtres pratiqués à la maison, par exemple grâce au soutien à domicile d’un professionnel spécialisé ou d’un bénévole formé.

Les soins palliatifs ne sont pas nécessairement coûteux. Il y a des médicaments bon marché, des traitements et des manières de procurer du soutien qui peuvent transformer la qualité de vie d’une personne. Mais ces connaissances doivent être partagées, et la mise en place et le fonctionnement de tels programmes doivent être financés.

Source: Texte: sfap.org  Image: Journée Mondiale

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