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Journées mondiales de la jeunesse – 26 juillet 2022

Journées mondiales de la jeunesse

Les Journées Mondiales de la Jeunesse existent depuis 1984 et sont organisées par l’Eglise Catholique. L’initiative en revient au Pape Jean-Paul II qui en a célébré de nombreuses. Elles sont l’occasion de rassemblements de jeunes catholiques venus du monde entier pour prier, se rencontrer, célébrer ensemble, se former, témoigner de leur foi.

Panama 2019

La dernière édition en date est celle de 2019 qui s’est tenue au Panama, en Amérique centrale. Pour cette année, le Pape François avait placé les Journées Mondiales de la Jeunesse sous le lumière de Marie :

« Voici la servante du Seigneur, que tout m’advienne selon Ta parole » (Lc 1:38).

Lisbonne 2023

Originellement prévues pour se tenir en août 2022, le pape François a annoncé le report d’une année des prochaines Journées mondiales de la jeunesse à Lisbonne en août 2023 « en raison de la situation sanitaire actuelle ».

Les précédentes éditions des JMJ

  • 1984 : Vatican
  • 1985 : Vatican
  • 1987 : Buenos Aires (Argentine)
  • 1989 : Saint-Jacques de Compostelle (Espagne)
  • 1991 : Czestochowa (Pologne)
  • 1993 : Denver (Etats-Unis)
  • 1995 : Manille (Philippines)
  • 1997 : Paris (France)
  • 2000 : Rome (Italie)
  • 2002 : Toronto (Canada)
  • 2005 : Cologne (Allemagne)
  • 2008 : Sydney (Australie)
  • 2011 : Madrid (Espagne)
  • 2013 : Rio (Brésil)
  • 2016 : Cracovie (Pologne)
  • 2019 : Panama (Panama)
  • 2023 : Lisbonne (Portugal)
Un site à visiter : www.laici.va    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale de la vie consacrée – 2 février 2021

Journée mondiale de la vie consacrée

Cette journée mondiale a été initiée par l’Eglise Catholique en 1997. C’est en effet le Pape de l’époque, Jean-Paul II, qui avait souhaité que soit instituée une journée de remerciements pour la vie consacrée, c’est à dire pour toutes les personnes, prêtres, religieux, religieuses, qui ont donné toute leur vie au Seigneur.

Fête de la présentation au temple

Depuis 1997, cette journée est reconduite chaque année et c’est la date du 2 février qui a été retenue car elle est celle où les catholiques du monde entier fêtent la Présentation du Seigneur au temple, c’est à dire le jour où il est en quelque sorte consacré à l’église.

Un site à visiter : eglise.catholique.fr    Source: Texte & Image: Journée mondiale
Ce 2 février marque la 25è journée mondiale de la vie consacrée.« Par cette lettre, nous souhaitons atténuer la distance physique que la pandémie nous impose depuis tant de mois et exprimer à chacun d’entre vous et à chaque communauté notre proximité et celle de ceux qui travaillent dans ce Dicastère. Depuis des mois, nous suivons les nouvelles qui nous parviennent des communautés des différents pays : elles parlent de désarroi, de contagions, de morts, de difficultés humaines et économiques, de diminution des instituts, de peurs… mais elles parlent aussi de fidélité éprouvée par la souffrance, de courage, de témoignage serein même dans la douleur ou l’incertitude, de partage de toute affliction et de toute blessure, de soins et de proximité des plus petits, de charité et de service au prix de la vie (cf. Fratelli tutti, chapitre II).Nous ne pouvons pas prononcer tous vos noms, mais sur chacun et chacune d’entre vous nous demandons la bénédiction du Seigneur afin que vous puissiez passer du « je » au « nous », conscients « que nous nous trouvons dans la même barque, tous fragiles et désorientés, mais en même temps tous importants et nécessaires, tous appelés à ramer ensemble » (Pape François, Moment extraordinaire de prière, vendredi 27 mars 2020). Soyez les Samaritains de ces jours, surmontant la tentation de battre en retraite et de pleurer sur soi-même, ou de fermer les yeux devant la douleur, la souffrance, la pauvreté de tant d’hommes et de femmes, de tant de peuples. »

Source: Texte: CRC (Conférence Religieuse Canadienne) Message du Vatican (abrégé)
 

Rencontre à Assise – 18-20 septembre

Assise s’apprête à accueillir une nouvelle rencontre interreligieuse

assisi1986_gp2Le 20 septembre, la ville d’Assise sera de nouveau le théâtre d’une rencontre interreligieuse, 30 ans après celle historique qui réunit le pape Jean-Paul II et 120 responsables religieux.

« Soif de paix”, c’est le nom de la rencontre internationale organisée du 18 au 20 septembre prochain. Une rencontre à laquelle participera le Pape François pour la dernière journée. Trente ans après la rencontre d’Assise convoquée par Jean-Paul II qui avait réuni environ 100 leaders religieux, près de 500 responsables sont attendus cette année, parmi lesquels Bartholomée Ier, le patriarche de Constantinople, ou encore Justin Welby, l’archevêque de Canterbury.

Nous avons interrogé Marco Impagliazzo, le président de la communauté Sant’Egidio, qui fait partie des organisateurs de cette rencontre, avec le diocèse d’Assise et la Famille Franciscaine. Pour lui, l’esprit d’Assise est de se désolidariser de la violence des religions, dans un contexte marqué par le terrorisme. La rencontre veut être l’écho des peuples qui souffrent, et non seulement des leaders.

Source: Texte: Église \ Dialogue Interreligieux |  (RV) Entretien (CV-SB) 13/09/2016  Image: www.sanegidio.org

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Six Prix Nobel de la paix participeront à la rencontre internationale. Le pape François et les chefs religieux présents partageront aussi un déjeuner avec 25 réfugiés, qui seront les hôtes particuliers de cet évènement.

Source: Texte: Anne Kurian, Pape François, 14 septembre 2016    

Mère Teresa canonisée par le pape François dimanche 4 septembre

mother teresa, catholicmoms.comLe pape François s’apprête à canoniser dimanche mère Teresa de Calcutta, la religieuse au sari blanc bordé de bleu devenue une icône mondiale, et controversée, de l’engagement en faveur des plus pauvres. Prix Nobel de la paix en 1979, cette femme tenace et pragmatique, d’une immense tendresse envers les rejetés, s’était aussi faite l’avocate obstinée de la morale de l’Eglise, tout en souffrant dans sa foi la majeure partie de sa vie. « Rendons hommage à cette petite femme amoureuse de Dieu, humble messager de l’Evangile et infatigable bienfaitrice de l’humanité », avait lancé Jean Paul II lors de sa béatification en 2003.

La cérémonie, dernier rendez-vous de ces deux monstres sacrés du XXe siècle, avait attiré 300.000 fidèles à Rome. Mais l’extrême rapidité de la procédure avait suscité des réserves au sein de l’Eglise. Ralenti sous Benoît XVI, le dossier a été relancé sous François, qui voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d’une « Eglise pauvre pour les pauvres »… même s’il a déclaré qu’il aurait eu « peur » si cette petite femme tenace, déterminée et empreinte d’absolu avait été sa supérieure.

Deux miracles
La cérémonie sera un temps fort du Jubilé de la miséricorde voulu par le pape argentin. Une douzaine de chefs d’Etat et de gouvernement, peut-être 100.000 fidèles sur la place Saint-Pierre… et 3.000 policiers et militaires mobilisés pour la sécurité. Une canonisation constitue la déclaration officielle qu’une personne décédée est au paradis. Pour cela, le futur saint doit avoir obtenu deux miracles, l’un pour la béatification, l’autre pour la canonisation, signes de sa proximité avec Dieu.

Dans le cas de Mère Teresa, il s’est agi de la guérison en 1998 d’une Indienne qui souffrait d’un cancer, puis celle en 2008 d’un Brésilien atteint de tumeurs au cerveau. Même si pour les membres de sa congrégation, elle était déjà sainte depuis le jour de sa mort le 5 septembre 1997. « Pour nous, la canonisation ne change pas grand-chose. Ce que nous faisions avant, nous allons continuer de le faire. Mais c’est une occasion de renouveler notre engagement », explique à l’AFP Brian Kolodiejchuk, membre des pères missionnaires de la Charité et avocat de la cause en canonisation.

Source: Texte: MSN Actualités Metrotime Laura Sengler 2 septembre 2016  Image: catholicmoms.com

Journées mondiales de la jeunesse – 23 juillet

Les Journées Mondiales de la Jeunesse existent depuis 1984 et sont organisées par l’église Catholique. L’initiative en revient au Pape Jean-Paul II qui en a célébré de nombreuses.
Elles sont l’occasion de rassemblements de jeunes catholiques venus du monde entier pour prier, se rencontrer, célébrer ensemble, se former, témoigner de leur foi. Ses successeurs ont depuis repris le flambeau :

Jean-Paul II
– 1984 : Vatican
– 1985 : Vatican
– 1987 : Buenos Aires (Argentine)
– 1989 : Saint-Jacques de Compostelle (Espagne)
– 1991 : Czestochowa (Pologne)
– 1993 : Denver (Etats-Unis)
– 1995 : Manille (Philippines)
– 1997 : Paris (France)
– 2000 : Rome (Italie)
– 2002 : Toronto (Canada)

Benoit XVI
– 2005 : Cologne (Allemagne)
– 2008 : Sydney (Australie)
– 2011 : Madrid (Espagne)

François

En 2013, les JMJ se sont déroulées au Brésil du 23 au 28 juillet et c’est le Pape nouvellement élu, François, qui les a présidées.logo-jmj-2016

En 2016, elles auront lieu à Cracovie en Pologne

Un site à visiter : www.krakow2016.com

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe – 22 juin

don-organeDonneur ou pas…  Pourquoi et comment je le dis à mes proches

Être pour ou contre le don d’organes post mortem, est un choix qui nous engage, mais qui engage aussi nos proches. C’est pourquoi il est important de faire connaître sa position à sa famille. Le 22 juin, l’Agence de Biomédecine invite le grand public à exprimer son opinion.

A l’occasion de la Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe, le 22 juin 2004, Mgr Jean-Pierre Ricard a publié un Editorial dans l’Aquitaine du 18 juin 2004 sur l’importance de ce geste généreux :

« Le 22 juin prochain (ndlr: 2004) aura lieu la 4ème Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe. Parmi toutes les journées à thème, il serait dommage que celle-ci passe inaperçue. Les greffes d’organe sont le seul moyen actuellement envisageable pour sauver la vie de certains malades ou remédier à des astreintes très éprouvantes, comme les séances répétées de dialyse. Beaucoup espèrent cette greffe, l’attendent longtemps. Du fait de cette attente, leur état peut s’aggraver au point de conduire à la mort, une mort qui aurait parfois pu être évitée. Malheureusement, les dons d’organes sont loin de répondre aux besoins exprimés.

Les organes vitaux ne peuvent être prélevés (à part le don d’un rein dans certaines circonstances) que sur des personnes décédées en état de mort cérébrale, souvent après un accident. Les médecins s’adressent alors aux proches parents. Ceux-ci, déjà bouleversés par la soudaineté de la mort, voient leur souffrance ravivée par la demande de prélèvement d’organes sur un être cher. Un tel désarroi amène plus d’une famille à refuser un tel prélèvement. On peut comprendre une telle souffrance. Celle-ci pourrait être moindre si l’éventualité de prélèvement avait fait l’objet d’une réflexion personnelle et d’échanges en divers lieux, et d’abord au sein de la famille.

Oui, l’acceptation de la possibilité d’un don volontaire d’organes est une forme d’un véritable don de soi pour l’autre, un authentique acte d’amour. C’est une des applications inattendues de la parole du Christ : « Nul n’a d’amour plus grand que celui qui donne sa vie pour ceux qu’il aime. » (Jn 15, 13)

Plusieurs fois, le pape Jean Paul II est intervenu pour appeler à ce don, en rappelant d’ailleurs les conditions dans lesquelles le prélèvement devait être réalisé. Son appel est clair : « Je suis certain que les responsables sociaux, politiques et éducatifs renouvelleront leur engagement à promouvoir une véritable culture du don et de la solidarité. Il faut insuffler dans le cœur des personnes, et en particulier dans le cœur des jeunes, une reconnaissance authentique et profonde du besoin d’amour fraternel, un amour qui puisse trouver une expression dans la décision de devenir un donneur d’organes ». (Discours au 18° Congrès international de transplantation d’organes – 29 août 2000)

Cet appel mérite d’être entendu !

Un site à visiter : www.dondorganes.fr   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

Journée mondiale des malades – 11 février

maladesLa maladie et la souffrance peuvent parfois bouleverser nos vies ou celles de nos proches: pour nous encourager à donner de notre temps, soutenir les malades, être attentif à leurs besoins, une journée mondiale des malades, créée en 1992 par le Pape Jean-Paul II, est célébrée chaque année, le 11 février, jour de la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Avoir le souci des malades
Les malades se sentent très rapidement mis à part de la vie des bien portants, c’est pourquoi les liens de solidarité, et tout ce qui permet aux personnes atteintes de maladie de se sentir écoutées, reconnues est extrêmement important. Bien que cette journée ait un sens tout particulier pour les Chrétiens, il n’est pas nécessaire d’avoir des convictions religieuses pour apporter son aide et sa compassion à des personnes souffrantes, un petit geste suffit !

Message du Pape François pour la journée 2016
« La maladie, surtout lorsqu’elle est grave, met toujours l’existence humaine à l’épreuve et apporte avec elle des interrogations qui creusent en profondeur. Parfois, le premier moment peut être de révolte : pourquoi est-ce que cela m’est arrivé ? On se sent désemparé, la tentation devient grande de penser que tout est perdu, que désormais rien n’a plus de sens… Dans ces situations, la foi en Dieu est, d’une part, mise à l’épreuve et, d’autre part, révèle en même temps toute sa puissance positive. Non parce que la foi fait disparaître la maladie, la douleur ou les problèmes qui en dérivent, mais parce qu’elle offre une clé avec laquelle nous pouvons découvrir le sens le plus profond de ce que nous sommes en train de vivre. »

Source: Texte & image: Journée mondiale