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Message du Pape François aux jeunes canadiens

Message du Pape François aux jeunes canadiens

L’Église catholique prépare le prochain synode des évêques sur les jeunes qui aura lieu dans un an, en octobre 2018, au Vatican. C’est le cas notamment au Canada où, dimanche 22 octobre 2017, la chaine de TV Sel et Lumière a programmé une émission spéciale pour aider les évêques canadiens à se préparer à cet événement. Le Pape François est intervenu dans un vidéo-message.

« Je vous demande de ne pas laisser [le monde] être abîmé par ceux qui pensent seulement à en profiter et à le détruire sans scrupules. Je vous invite à inonder les lieux dans lesquels vous vivez avec la joie et l’enthousiasme typiques de votre âge, à irriguer le monde et l’histoire avec la joie qui vient de l’Évangile, d’avoir rencontré une Personne : Jésus, qui vous a fasciné et vous a attiré à ses côtés ». C’est ainsi que le Pape François s’est adressé aux jeunes Canadiens.

Il a répété un de ses thèmes favoris quand il s’adresse aux plus jeunes : « Ne vous laissez pas voler votre jeunesse ». Il les a mis en garde contre ceux qui veulent les transformer en bâtisseurs de murs et source de division. Au contraire, les jeunes sont des « tisseurs de relations marquées par la confiance, le partage, l’ouverture jusqu’aux confins du monde ». Ils doivent construire des ponts.

Le Pape espère que les jeunes ont entendu l’appel de Dieu et que, grâce « à l’accompagnement de guides experts », ils sauront entreprendre un chemin de discernement pour découvrir le projet que Dieu a pour chacun d’eux.

François a souligné le besoin que l’Église a d’avoir des « jeunes courageux, qui n’ont pas peur devant les difficultés, qui affrontent les épreuves, qui tiennent les yeux et le cœur bien ouverts sur la réalité, pour que personne ne vienne refoulé, ne soit victime d’injustice, de violence, ou soit privé de la dignité de la personne humaine ». Le Pape se veut ainsi confiant dans la jeunesse d’aujourd’hui, dans le fait qu’elle ne restera pas sourde aux cris d’aide des nombreux autres jeunes qui cherchent la liberté, du travail, des études et la possibilité de donner un sens à leur vie.

« Laissez-vous atteindre par le Christ. Laissez-le vous parler, vous embrasser, vous consoler, guérir vos blessures, dissoudre vos doutes et vos peurs et vous serez prêts pour l’aventure fascinante de la vie, don précieux et impayable que Dieu dépose chaque jour dans vos mains », a encore exhorté le Pape.

Source: Texte: RV 23 octobre 2017  Images: la-croix.com  expatforum.com

Échange du Pape François avec les astronautes

Voir la Terre « paisible », du point de vue de Dieu, c’est l’émerveillement que les astronautes de la Station spatiale internationale ont confié au pape François, avec qui ils ont eu une liaison directe, à 15h (heure de Rome), ce 26 octobre 2017.

« Houston station, nous sommes prêts pour l’événement. » Une expression relativement connue mais rare au Vatican, a résonné dans les murs du petit Etat, où le pape a dialogué durant quelque 25 minutes avec l’équipage de six personnes de l’expédition 53, devant un écran, depuis la petite salle de la Salle Paul VI.

Après un réajustement pour cause d’écho, l’astronaute italien Paolo Nespoli, qui menait la conversation, a confirmé : « Nous vous recevons 5/5 » (« we hear you loud and clear »). Avec parfois une dizaine de secondes de décalage – la station était à 400 km de la Terre – les cosmonautes et le pape ont échangé sur divers thèmes, tels la recherche, la force de l’amour qui meut le monde, la collaboration internationale…

« Je vous remercie d’avoir été avec nous, de nous avoir conduits plus haut, de nous avoir sortis de cette mécanicité quotidienne, de nous avoir fait penser à des choses plus grandes que nous », a conclu Paolo Nespoli.

Les six astronautes étaient tous chrétiens : un baptiste, trois catholiques et deux russes orthodoxes. Il s’agissait de Randolph Bresnik (Etats-Unis), commandant, de la NASA ; Paolo Nespoli (Italie), ingénieur de l’ESA; Mark T. Vande Hei (États-Unis), ingénieur de la NASA; Joseph Acaba, (États-Unis, d’origine portoricaine), ingénieur de la NASA; Sergey Ryazanskiy (Russie), ingénieur et Alexander Misurkin (Russie), ingénieur.

Le président de l’Agence spatiale italienne (ASI), Roberto Battiston et le directeur des programmes d’Observation de la Terre de l’Agence spatiale européenne (ASE), Josef Aschbacher, étaient présents au côté du pape, qui était assis à une petite table, sous un tableau représentant la dernière scène de la Divine Comédie de Dante Alighieri.

Voici notre traduction du dialogue. AK

Équipe de la Station spatiale: Dialogue du pape avec les astronautes

Pape François – Good morning you all.

Paolo Nespoli – Sainteté, bonjour, bienvenue sur la station internationale parmi nous, parmi l’équipage de l’expédition 52 et 53.

Pape François – Bonjour ou bonsoir, car lorsqu’on est dans l’espace, on ne sait jamais ! Cher Monsieur Nespoli, chers astronautes, je pense que là-bas, dans la station spatiale, les journées passent de façon différente, n’est-ce pas ? Je vous remercie, ainsi que ceux qui ont organisé cette liaison, qui me donne la possibilité de ‘vous rencontrer’ et de vous adresser quelques questions.

Je commence tout de suite avec la première question : l’astronomie nous fait contempler les horizons illimités de l’univers et suscite en nous les questions : d’où venons-nous ? Où allons-nous ? Je vous demande à vous, Monsieur Nespoli, à la lumière de vos expériences dans l’espace, quelle est votre pensée sur la place de l’homme dans l’univers ?

Paolo Nespoli – Saint-Père, c’est une question complexe, je me sens une personne technique, un ingénieur, je suis à l’aise parmi les machines, les expérimentations; mais quand on parle de ces choses beaucoup plus intérieures – “d’où venons-nous…” – je reste moi aussi perplexe. C’est un discours très délicat. Je pense que notre objectif ici est celui de connaître notre être, pour compléter la connaissance, comprendre ce qui est autour de nous. Et entre autres, c’est intéressant parce que plus nous connaissons, plus nous nous rendons compte que nous connaissons peu. J’aimerais beaucoup qu’une personne comme vous, non seulement des ingénieurs, non seulement des physiciens, mais des personnes comme vous – des théologiens, des philosophes, des poètes, des écrivains… – puissent venir ici dans l’espace et cela sera sûrement l’avenir, j’aimerais qu’ils viennent ici, pour explorer ce que veut dire avoir un être humain dans l’espace.

Pape François – C’est vrai, ce que vous dites.
Dans cette salle d’où je vous parle, se trouve – comme vous voyez – une tapisserie artistique inspirée du verset célèbre, avec lequel Dante conclut la Divine Comédie: « L’amour qui met en mouvement le soleil et les autres étoiles » (Paradiso, XXXIII, 145). Je vous demande : quel sens cela a pour vous, qui êtes tous ingénieurs et astronautes, comme vous l’avez dit, d’appeler “amour” la force qui met en mouvement l’univers ?

Alexander Misurkin répond en russe, avant d’être traduit par son confrère italien :

Paolo Nespoli – Saint-Père, j’espère que nous ne vous avons pas surpris avec le russe : est-ce possible pour vous d’avoir une traduction ou devons-nous résumer rapidement ?

Pape François – C’est mieux de synthétiser rapidement.

Paolo Nespoli – Le collègue Alexander a fait une très belle réponse en russe, que je vais traduire un peu rapidement. Il fait référence à un livre qu’il est en train de lire en ce moment, pour réfléchir, “Le Petit Prince” de Saint-Exupéry, et il se réfère à l’histoire du jeune garçon qui donnerait volontiers sa propre vie pour retourner et sauver plantes et animales sur la Terre. En substance, l’amour est cette force qui te donne la capacité de donner ta vie pour quelqu’un d’autre.

Pape François – J’aime cette réponse. C’est vrai, sans amour, ce n’est pas possible de donner sa vie pour un autre. On voit que vous avez compris le message que Saint-Exupéry explique si poétiquement et que, vous les Russes, avez dans le sang, dans votre tradition si humaniste et si religieuse. C’est beau cela, merci.
J’ai une curiosité. On dit que seules les femmes sont curieuses, mais nous aussi les hommes sommes curieux ! Qu’est-ce qui vous a motivés à devenir astronautes ? Qu’est-ce qui vous donne le plus de joie dans le temps que vous passez dans la station spatiale ?

Sergey Ryazanskiy – Nous représentons ici différents pays, différents peuples, des peuples de notre planète ; chacun à son histoire, sa façon de devenir astronaute… mon histoire a commencé avec mon grand-père qui était ingénieur en chef … dans le premier satellite construit, Spoutnik. Et pour moi, c’est un grand honneur de continuer ce qu’il faisait, pour accomplir ses rêves, parce que le vol dans l’espace est l’avenir pour l‘humanité et le vol spatial est toujours une frontière pour de nouvelles… sciences et de nouvelles approches.

Randolph Bresnik – Ce qui me donne la plus grande joie, tous les jours, est de regarder dehors et de voir la création de Dieu, peut-être un peu de sa perspective. Les gens ne peuvent pas venir ici et voir la beauté indescriptible de notre Terre sans être touchés dans leur âme. Nous voyons ici la paix et la sérénité de notre planète tandis qu’on tourne à 10 km par secondes, et il n’y a pas de frontière, il n’y a pas de conflit, c’est juste paisible. Et l’on voit la finesse de l’atmosphère et cela fait réaliser combien notre existence ici est fragile ; et nous qui travaillons ici dans cette station spatiale, avec notre partenariat international, nous espérons que cet exemple de ce que nous pouvons réaliser ensemble, soit un exemple pour le monde et toute l’humanité, afin que nous travaillions pour élargir l’accès à l’espace et que plus de personnes puissent voir cette perspective de l’espace. (Alors) peut-être l’avenir de l’humanité sera-t-il bien meilleur que ce que nous avons aujourd’hui.

Pape François – Dans cette réponse, j’ai beaucoup aimé, ce que vous avez dit tous les deux : vous, d’abord, êtes allé à vos racines pour expliquer cela ; vous avez évoqué le grand-père. Et vous, qui venez d’Amérique, avez réussi à comprendre que la Terre est trop fragile ; c’est un moment qui passe : 10 Km par secondes, a dit Monsieur Nespoli… c’est une réalité très fragile, subtile, l’atmosphère, tant qu’elle peut se détruire. Et vous êtes allé justement regarder avec les yeux de Dieu. Le grand-père et Dieu : les racines et notre espérance, notre force. Ne jamais oublier les racines : cela me fait du bien de l’entendre et de l’entendre de vous ! Merci.
Je voudrais vous poser une autre question : voyager dans l’espace modifie tant de choses que l’on considère acquises dans la vie quotidienne, par exemple l’idée d’en-haut et d’en-bas. Je me demande : y a-t-il quelque chose en particulier que vous avez appris en vivant dans la station spatiale ? Et y a-t-il au contraire quelque chose qui vous a touché justement parce que vous en avez trouvé une confirmation là aussi, dans un contexte si différent ?

Mark T. Vande Hei – Saint-Père, ce qui me surprend, c’est la façon dont aborder quelque chose d’une perspective différente, semble rendre méconnaissable quelque chose de très familier. Parfois lorsque je travaille sur quelque chose qui est très proche de moi, je me concentre là-dessus, et je ne réalise pas que j’ai tourné autour, et lorsque je vais sur un autre module, quand je l’approche d’un côté différent, que je n’attendais pas, c’est déroutant d’abord, quand j’essaie de comprendre où je suis. Cela a été très intéressant. Ce qui a été surprenant pour moi, quelque chose qui n’a pas changé, c’est que dans cet environnement où nous n’avons pas vraiment besoin des concepts d’en-haut et d’en-bas, pour me repérer, je dois encore décider quelle direction percevoir comme le haut, afin de donner du sens aux choses.

Pape François – C’est une chose très humaine, la capacité de décider, de décision. La réponse me semble intéressante parce qu’elle va aussi aux racines humaines.
A présent, si vous avez la bonté d’écouter, je poserai une autre question : notre société est très individualiste ; au contraire, dans la vie, la collaboration est essentielle. Je pense à tout le travail qu’il y a derrière une entreprise comme la vôtre. Pouvez-vous me donner quelque exemple significatif de votre collaboration dans la Station spatiale ?

Joseph Acaba – Saint-Père, c’est un grand honneur de parler avec vous. La station spatiale internationale est un grand exemple de collaboration internationale, comme vous pouvez voir avec les membres de l’équipage que nous avons ici, de pays divers, et avec le travail que nous faisons tous les jours, parlant avec différents centres du monde entier : nous avons les États-Unis, le Canada, le Japon, la Russie, et neuf pays d’Europe. Mais ce que je trouve intéressants, ce sont les individus qui constituent cette collaboration. C’est notre diversité qui nous rend plus forts et je pense qu’il faut que nous comprenions qui nous sommes comme individus et respecter ceux qui sont autour de nous, et en travaillant ensemble nous pouvons faire des choses bien plus grandes qu’en tant qu’individus.

Pape François – Vous êtes un petit “palais de verre” ! La totalité est plus grande que la somme des parties, et c’est l’exemple que vous nous donnez. Merci beaucoup, chers amis, je voudrais dire : chers frères, parce que nous vous voyons comme représentants de toute la famille humaine dans le grand projet de recherche qu’est la Station spatiale. Je vous remercie de tout cœur pour ce dialogue qui m’a beaucoup enrichi. Que le Seigneur vous bénisse, votre travail et vos familles. Je vous assure: je prierai pour vous. Et vous, s’il vous plaît, priez pour moi. Merci.

Paolo Nespoli – Saint-Père, au nom de tous, je veux vous remercier d’avoir été avec nous aujourd’hui sur la Station spatiale internationale. C’est un lieu où nous faisons tant de recherches, où nous allons chercher les choses de tous les jours … Je vous remercie d’avoir été avec nous, de nous avoir conduits plus haut, de nous avoir sortis de cette mécanicité quotidienne, de nous avoir fait penser à des choses plus grandes que nous. Merci encore.

Pape François – Merci à vous.

Source : Texte : Anne Kurian Images : CNews  La Libre.be

Le Pape François, acteur

Le pape François acteur d’un film dans lequel il joue son propre rôle

Une avant-première du film  était programmée ce jeudi 21 septembre 2017 dans l’enceinte du Vatican nous apprend le quotidien anglais The Guardian.

Après avoir été le premier pape rockeur, avec la sortie en novembre 2015 de son album Wake UP!, François est en passe de devenir le premier pape acteur. On savait depuis février dernier qu’il incarnerait son propre rôle dans Beyond the Sun, un long-métrage qui raconte l’histoire d’enfants en recherche de Dieu. Si la sortie officielle du film est programmée aux alentours de Noël, quelques cinéphiles auront le privilège ce jeudi de le découvrir en avant-première.

Selon The Guardian, le Pape figure à l’écran pendant environ six minutes, au milieu du film et à la fin, soit un plus longtemps que ce qui était initialement prévu. L’évêque de Rome y serait montré comme un « homme du peuple », selon Andrea Iervolino, le producteur du film.

Le successeur de Pierre y apparaît notamment dans une scène avec des enfants, les exhortant à parler à Jésus et à lire les Évangiles : « Ne pensez pas [les Évangiles] comme un grand livre… Les Évangiles sont petits. Il faut les lire lentement, peu à peu. Et vous devriez le faire avec quelqu’un qui peut expliquer ce que vous ne comprenez pas ».

En une seule prise
L’évêque de Rome poursuit : « Parlez à Jésus… Dites-lui ce qui vous arrive. Ce qui est arrivé aujourd’hui. Dites-lui ce que vous avez vu et que vous n’aimez pas, dans l’école, dans les rues, ou dans votre famille… Jésus vous attend, et il vous cherche, et vous ne vous rendez pas compte… Recherchez-le et voilà comment vous vous trouverez. Osez le faire. »

Selon The Guardian, le film a été tourné en une seule prise et les interventions du Pape se sont faites sans scénario. « Il a fait son propre discours », a commenté Andrea Iervolino. « Nous lui avons expliqué l’histoire et la boussole. Il n’est pas acteur. Il est lui-même. Il est donc réel, ce qui est important. »

Le film, produit par la société AMBI Films, destiné à un public familial, a vocation à partager la parole de Jésus aux plus jeunes. Les bénéfices seront distribués à deux œuvres argentine.

Source: Texte: Kévin Boucaud-Victoire/avec I.Media | 21 septembre 2017  Image : tourinrome.com

 

 

Le Pape François visite la Colombie

Le leit-motiv du Pape lors de sa visite en Colombie est: “Faisons le premier pas.”

C’est un voyage de cinq jours centré sur la réconcialiation – un thème évident étant donné l’entente de paix réalisée l’an dernier qui a mis fin à un demi siècle de conflit entre le gouvernement et les Forces Armées Révolutionnaires de Colombie (FARC).

“Faire le premier pas sognifie reconnaître la souffrance des autres et pardonner le mal qu’ils nous ont fait,” a dit Monsignor Fabio Suescun Mutis, le responsible de la visite du Pape en Colombie.

“Il s’agit de nous retrouver en tant que Colombiens, de comprendre la douleur de ceux qui ont souffert, de guérir le coeur, en découvrant le pays qui se cache derrière les montagnes et bâtir une pays en paix.”

Source: Texte: Traduction libre d’un article de la BBC   Image: BBC.co.uk

 

Journée internationale de la charité – 5 septembre

L’assemblée générale des Nations Unies s’est réunie le 5 septembre 2012 pour proclamer que cette date serait désormais celle de la Journée Internationale de la Charité.

Elle et invite tous les états membres de l’ONU, les autres organismes des Nations Unies et toutes les organisations internationales et régionales à célébrer la Journée internationale, en encourageant la charité, notamment par des activités pédagogiques et de sensibilisation.

Mère Teresa de Calcutta
A ceux qui se demandent pourquoi la date du 5 septembre a été retenue, il faut se souvenir que c’est la date anniversaire de la disparition de Mère Teresa, survenue en 1997.

Rappelons aux moins avertis qu’elle a consacré sa vie à la pratique de la charité, en fondant notamment la congrégation des missionnaires de la charité à Calcutta, et que les religieuses oeuvrent toujours auprès des plus pauvres, notamment en Inde.

Mère Teresa a été proclamée sainte le 4 septembre 2016 par le Pape François et c’est également le 5 septembre qui a été choisi pour l’honorer.

Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Fête du travail…

En ce jour de la fête du travail (4 septembre 2017) RADIO-CANADA PREMIÈRE présentait une courte entrevue avec Dominique Wolton du Centre National de la Recherche Scientifique.

Il vient de publier en France un livre qui est le produit de 12 rencontres de 2 heures chacune avec le Pape François, un ouvrage qui couvre de multiple sujets.

Dans l’une de leurs rencontres, le Pape affirmait que « Chaque personne a droit à une Terre, un Toit, et un Travail… » 

Note : Cet ouvrage doit paraître au Québec à l’automne.

Source: Image: pape François Archives – cath.ch

 

 

 

Journée mondiale de prière pour la Création – 1er septembre

C’est le Pape François qui a pris l’initiative, dans son message du 6 août 2015, d’instituer cette journée mondiale, dans la droite ligne de sa récente encyclique Laudato Sì.

Je souhaite vous communiquer ma décision d’instituer également dans l’Église catholique une “Journée Mondiale de Prière pour la Sauvegarde de la Création”. À partir de cette année*, cette journée sera célébrée le 1er septembre, comme cela se produit déjà au sein de l’Église orthodoxe.

Une journée appelée à une très large diffusion

Cette journée de prière offrira à chacun l’opportunité de renouveler son adhésion personnelle à sa vocation de gardien de la création.

En instituant cette journée, le Pape a répondu à une demande de l’église orthodoxe et souhaite également que d’autres églises et communautés ecclésiales rejoignent cette initiative, en particulier pour que cette journée soit célébrée en accord avec les initiatives que le conseil oecuménique des églises organise sur ce thème.

Sauvegarder la maison commune

L’encyclique du Pape est trop long et trop dense pour être résumée ici, mais le lecteur sera frappé par sa portée universelle. Nous ne sommes pas propriétaires de la création mais bien dépositaires et appelés à la sauvegarder et la transmettre… et c’est à Saint François d’Assise que nous laisserons le soin de conclure cette présentation avec une courte citation de son cantique de la création:

Loué sois tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
 

* 2015

Un site à visiter : fr.radiovaticana.va   Source: Texte: Journée Mondiale  iMge: Fellowship of the Minds

Le pape ouvre une 4e voie vers la canonisation

VATICAN – Le pape François a ouvert une quatrième voie vers la canonisation, le premier changement du genre à être annoncé depuis plusieurs siècles.

Jusqu’à présent, une éventuelle canonisation au sein de l’Église catholique nécessitait un martyre; une vie de vertus héroïques; ou une réputation évidente de sainteté.

Le Vatican a annoncé mardi (11 juillet) que le pape a publié une nouvelle loi qui offre une quatrième possibilité: d’avoir mené une bonne vie catholique et d’avoir librement accepté une mort prématurée et certaine pour le bien des autres.

Un miracle devra être attribué aux candidats de la nouvelle catégorie avant leur béatification, qui représente la première étape envers la canonisation.

Le martyre, à savoir d’être tué en raison d’une haine pour la foi, ne nécessite pas de miracle.

Source: Texte: La Presse canadienne, Image: Salon

Message du Pape au G20 de Hambourg

 

Le Pape François a envoyé un message aux participants du G20 réunis à Hambourg. Dans son message, il fait appel à la communauté internationale pour «la situation tragique du Soudan du Sud, du bassin du lac Tchad, de la Corne de l’Afrique et du Yémen, où il y a 30 millions de personnes qui n’ont pas de nourriture et d’eau pour survivre. L’engagement pour venir de façon à la rencontre de ces situations et donner un soutien immédiat à ces populations sera un signe du sérieux et de la sincérité de l’engagement à moyen-terme pour réformer l’économie mondiale et une garantie de son développement efficace», précise le Saint-Père.

 Il ajoute: «Je prie Dieu pour que le sommet de Hambourg soit illuminé par l’exemple des leaders européens ou mondiaux qui ont toujours privilégié le dialogue et la recherche de solutions communes : Schuman, De Gasperi, Adenauer, Monnet et tant d’autres».

Source: Images: Clean Energy Wire,  baden-baden.de