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Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme – 2 avril

Le 2 avril a lieu la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme. Elle vise à mieux informer le grand public sur les réalités de ce trouble du développement. L’autisme est une réalité très présente dans la mesure où ce type de handicap touche 1 personne sur 150 dans le monde.

La France compte environ 430 000 personnes atteintes d’autisme à des degrés divers, dont 25% d’enfants. Le gouvernement français a mise en place un « plan Autisme » sur 2008-2011, qui vise tout d’abord l’augmentation de la capacité d’accueil en établissements spécialisés et sur la diversification des méthodes de prise en charge et de dépistage précoce.

Mobiliser les acteurs
Une des difficultés rencontrée par les parents d’enfants présentant des troubles de ce type réside dans l’établissement du diagnostic et la mise en place d’une prise en charge efficace. Le monde médical est encore aujourd’hui trop divisé et les différents intervenants ont du mal à s’accorder.

A ce titre, les psychomotriciens adressent aux enfants et aux familles un message de soutien, en espérant que la mobilisation voulue pour la journée mondiale puisse continuer à sensibiliser un maximum d’acteurs autour de cette cause.

« En attendant une reconnaissance plus juste et de moyens à la hauteur, nous continuons nos démarches éducatives, rééducatives et thérapeutiques pour soutenir au mieux nos patients ». 

Un site à visiter : www.fondation-autisme.org         Source : Texte & Images : Journée Mondiale

Le trouble du spectre autistique (TSA) a d’importantes répercussions sur bon nombre de Canadiens et leurs familles…

Selon le rapport, le TSA est présent chez 1 jeune canadien de 5-17 ans sur 66 et touche cinq fois plus de garçons que de filles; ces constatations sont conformes à celles observées dans d’autres pays.

Source : Texte : Gouvernement du Canada

 

Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage – 2 décembre

 

Sous l’égide du Ministère de la Culture en partenariat avec l’UNESCO, cet événement commémore la date anniversaire de l’adoption par l’Assemblée Générale des Nations Unies, de la Convention pour la répression et l’abolition de la traite des êtres humains et de l’exploitation de la prostitution d’autrui, le 02 décembre 1949.

Un combat de tous les jours
La célébration de cette journée, tout en s’inspirant de l’esprit de l’abolition de la traite des noirs, actualise le combat permanent contre toutes les autres formes d’esclavage moderne qui privent à de très nombreux êtres humains, leurs libertés et leurs droits les plus élémentaires à la dignité, au travail libre, à la vie tout simplement.

Kofi Annam, le Secrétaire Général des Nations Unies, dans son message du 02 décembre 2001, en rappelant l’abolition de l’esclavage, ajoutait ceci:  » Bien des gens pensent sans doute que ce traité n’a plus lieu d’être au XXIe siècle. Or il nous faut bien admettre que l’esclavage et la servitude restent encore trop fréquents, cachés sous les noms de travail obligatoire, travail forcé, exploitation de la main d’œuvre enfantine et traite des êtres humains « , marginalisation, exclusion des groupes sociaux.

L’esclavage actuel
Aujourd’hui, le travail forcé et l’exploitation sexuelle dont sont victimes les enfants, la prostitution des femmes. Le traitement discriminatoire des travailleurs migrants, les agressions quotidiennes contre les droits de l’homme la détérioration des termes de l’échange, le poids de la dette inique et injuste ont autant de formes de privation de libertés synonymes d’un esclavage de type moderne.

L’ONU et ses organismes affiliés en collaboration avec la communauté internationale ( ONU, syndicats, société civile…), renforcent leurs instruments internationaux pour l’éradication de toutes ces t’ormes modernes d’esclavage. Il s’agit notamment de l’adoption de nouvelles conventions:

La Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille;
La Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée;
La Déclaration de la Conférence mondiale contre le racisme etc…

Approfondir la réflexion sur l’ensemble de ces questions, sensibiliser l’opinion sur cette lutte actuelle contre l’esclavage de type moderne, tels sont les enjeux de la célébration de cette Journée Internationale pour l’abolition de l’esclavage du 02 décembre.

Objectifs
Vulgariser et sensibiliser l’opinion sur les graves violations des libertés individuelles en particulier le trafic des enfants et des femmes;
Développer et partager la réflexion sur la nécessaire mobilisation de tous les secteurs de la société pour combattre ce fléau;
Amener les Etats et les Institutions internationales à faire à appliquer les traités internationaux et les lois nationales.

Un site à visiter : www.un.org        Source: Texte & Images: Journée Mondiale   2è image: National Day Calendar

 

World Day for Decent Work – 7 October

Since 2015, the richest 1% has owned more wealth than the rest of the planet (Oxfam).

71% of people say governments should work towards a pay rise for workers (ITUC Global Poll 2017).

80% of people say the minimum wage in their country is too low (ITUC Global Poll 2017).

This year marks the 10th anniversary of the World Day for Decent Work (WDDW), which will fall on 7 October. Millions of people have taken part in WDDW events since 2008, and this year will also be a day for global mobilisation: all the trade unions in the world will stand up for decent work.

Decent work must be at the centre of government actions to bring back economic growth and build a new global economy that puts people first. No action is too big or too small for the World Day for Decent Work – i.e. a table discussion, a huge demonstration, a protest letter, a flash mob action or something completely different.

This year, the global focus is on the world struggle for living minimum wages and a pay rise for all workers. Governments should heed the call from working women and men for decent wages, safe and secure jobs, and an end to greedy corporations setting the rules of the economy. This means ensuring that minimum wage-floors must be enough to ensure a decent standard of living, and that all workers must have the right to join a union and bargain collectively.

Source: Text & Image: International Trade Union Confederation

Journée mondiale d’action pour le travail décent – 7 octobre

A l’initiative du mouvement syndical, la journée du 7 octobre est devenue, en 2008, la Journée mondiale d’action pour le travail décent.

Les syndicats et toutes les organisations œuvrant pour le travail décent dans le monde entier y voient une occasion sans précédent de se rallier à une large mobilisation mondiale plaçant l’homme au centre de la réflexion sur le travail. Une nouvelle mondialisation à inventer qui prônerait d’abord le respect de la dignité humaine en commençant par le droit de chacun d’accéder à un travail décent.

Qu’est-ce qu’un travail décent ?
Tout individu, partout dans le monde, devrait pouvoir exercer un métier qui lui permette de mener une vie digne et répondant à ses besoins essentiels ainsi qu’à ceux de sa famille.

Pourtant, dans de nombreuses régions du monde, on constate qu’il n’y a ni salaire équitable ni conditions de travail dignes… au profit d’une vision de l’économie uniquement basée sur les profits. Le combat pour un travail décent reste pourtant la meilleure manière de lutter contre la pauvreté mondiale et le but de cette journée mondiale est de favoriser les actions qui permettront d’y parvenir.

Rendons à César ce qui revient à César…
Au fait, nous avons signalé au démarrage de ce billet que l’origine de cette journée était le mouvement syndical… il faut se souvenir de ceux qui se sont battus depuis plus d’un siècle sont d’horizons philosophiques très diversifiés et que c’est l’Eglise Catholique elle-même qui a œuvré la première dans cette direction avec sa Doctrine Sociale, élaborée au temps du Pape Léon XIII.

Dans un souci d’équilibre, il nous est difficile de ne pas mentionner l’action de la CGT en faveur du travail décent et inciter nos internautes à visiter leur site internet: www.cgt.fr

Un site à visiter : 2015.wddw.org   Source: Texte & Image: Journée Mondiale

 

Journée Mondiale de l’enfant Africain – 16 juin

Le 16 juin, les coalitions africaines de l’action mondiale contre la pauvreté organisent des actions simultanées pour la Journée de l’Enfant Africain.

Cette Journée de l’Enfant Africain est un événement annuel qui commémore le massacre des enfants de Soweto de 1976 par le régime de l’apartheid. Les coalitions de l’action mondiale contre la pauvreté ont choisi cette occasion pour en faire la Journée Africaine du Bandeau Blanc et pour faire une demande régionale auprès des dirigeants des pays concernés afin qu’ils agissent immédiatement pour éradiquer la pauvreté extrême qui cause la mort d’un enfant toutes les 3 secondes en moyenne.

De l’afrique du Sud au continent africain…
En Afrique du Sud, des enfants et des adultes viendront à Soweto pour exiger des dirigeants africains qu’ils aident les orphelins et les enfants vulnérables. Loise Bwambale, membre du parlement pan-africain, dirigera les opérations.

Au Kenya, une mobilisation immense, avec près de 5000 enfants, se rassemblera à Thika. L’événement aura lieu au Kiandutu Slum, dont le pourcentage d’enfants orphelins est le plus élevé. Le vice président sera présent, mais l’invité d’honneur sera un enfant.

Au Sénégal, une manifestation énorme impliquant 500 enfants est prévue. Une réunion géante de lobbying avec le président du Sénégal et des enfants est prévue pendant l’événement. Des célébrités telles que Youssou NDour, Baaba Maal, Coumba Gawlo, Viviane Ndour, Mada Ba, Oumar Pene, Coumba Gawlo, Abdou Djite ont aussi été invitées.

En Tanzanie, des mobilisations et une conférence de presse marqueront la Journée de l’Enfant Africain.

Un site à visiter : www.unicef.fr     Source: Texte: Journée Mondiale Image: Wits University

Journée Mondiale contre le travail des enfants – 12 juin

En ratifiant la convention n° 182 de l’Organisation Internationale du Travail, les pays signataires se sontengagés à agir immédiatement pour interdire et éliminer les pires formes de travail des enfants. Cette convention a été la plus rapidement ratifiée de l’histoire de l’OIT depuis sa création en 1919.

Parallèlement, la convention n° 138 de l’OIT a également été ratifiée par un nombre croissant de pays. Son objectif est long terme est d’obtenir l’abolition effective du travail des enfants. Au niveau des signatures, la mobilisation contre le travail des enfants ne cesse donc d’augmenter, mais il y a encore loin de la coupe aux lèvres et le travail des enfants reste une réalité quotidienne dans de nombreux pays !

On estimait en effet en 2002 que le travail des enfants concernait 246 millions d’enfants entre 5 ans et 17 ans, soit un enfant sur six à l’échelle de la planète, essentiellement dans l’agriculture. Selon un rapport de l’OIT, 73 % de ces jeunes – environ 179 millions, soit un enfant sur 8 – sont soumis aux « pires formes de travail », qui mettent en péril leur bien-être moral, mental ou physique ­ et 8,4 millions sont assujettis à des activités « intrinsèquement condamnables » – esclavage, servitude pour dettes, enrôlement dans des forces armées, prostitution ou pornographie.

Le cri d’alarme de l’Organisation internationale du travail
Les chiffres montrent que l’esclavage n’a pas disparu, puisque quelque 5,7 millions de jeunes sont asservis ou sont forcés de travailler. Ces enfants ont souvent beaucoup de problèmes pour obtenir de l’aide, non seulement parce qu’ils sont jeunes, mais aussi parce qu’ils ne possèdent aucun certificat de naissance ou papiers officiels et qu’ils sont donc « invisibles » aux yeux des autorités.

« Les formes les plus dangereuses de travail des enfants dépassent largement nos estimations précédentes », s’alarme l’OIT. Sept enfants sur dix travaillent dans des exploitations agricoles, souvent pour une production locale destinée à leur propre famille. Mais environ 10 millions d’enfants (en Asie, en Afrique, en Amérique du Sud) travailleraient pour une activité d’exportation, c’est-à-dire, in fine, pour des entreprises occidentales. Les secteurs les plus exposés à ce genre de pratique sont le textile, la fabrication des tapis, la récolte de tabac ou de cacao à destination des grands groupes internationaux.

Le travail des enfants concerne également les pays développés : 2,5 millions d’enfants y travailleraient. Ce phénomène touche surtout l’agriculture aux Etats-Unis, les services à la personne en Grande-Bretagne et le textile et le bâtiment en Europe du Sud…

Source : Texte & Image : Journée Mondiale