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Journée mondiale de la course à pieds – 3 juin

Journée mondiale de la course à pieds
Il fallait bien que cela arrive, à force de courir tout le temps, on a failli rater la journée mondiale de la course à pieds.

Une date encore largement méconnue

Suivant les sources, la date de cette journée semble très variable. Elle a été célébrée le 7 juin en 2017, le 6 en 2018. Les anglo-saxons ont fixé la date de leur « Global Running Day » au 1er mercredi de juin. En 2021, cela tombe donc le 2 juin et certains événements ont ratissé large en s’étalant du 2 au 8 juin… C’est à s’y perdre et cela confirme la morale de la fable de La Fontaine : « Rien ne sert de courir, il faut partir à point »…

Les bienfaits de la course à pieds

Inutile églement de revenir sur les bienfaits de ce sport qui permet de se maintenir en forme, se détendre, évacuer son stress, se faire plaisir (mais si !), etc…

De sport marginal dans les années 60, la course à pieds est devenue un sport de masse et on estime, rien qu’en France le nombre de pratiquants à environ 15 millions dont 1/3 qui participent à des compétitions.

A tel point qu’il est devenu quasiment banal d’avoir parcouru la distance mythique du Marathon (42.195 km). C’est peut-être aussi pour cela que les formats et les distances extrêmes se multiplient.

Envie de courir ?

On vous aide à trouver un club : voir ci-dessous.

Un site à visiter : www.jogging-international.net    Source: Texte & Image: Journée Mondiale

33è dimanche de l’année C – 2019

« J’ai l’goût de tout lâcher! »
Vous avez entendu ces paroles à un moment ou un autre…
Un voisin ou une collègue de travail avouait avec dépit, ou désespoir :
« J’en ai assez, j’peux plus continuer! »
Il se peut qu’on soit parfois tenté soi-même de dire la même chose…

Quand une telle situation se présente, un récit me revient à la mémoire.
Il s’agit d’un fait qui a pris place en octobre 1968 au stadium olympique de la ville de Mexico.

Les gens présents avaient vu, une heure plus tôt, l’éthiopien Mamo Wolde gagner la course.
Le soir approchait, il faisait froid et les spectateurs commençaient à quitter le stadium.
Soudain, on entendit la sirène d’une ambulance et les sifflets des policiers sur place.
À l’étonnement de tous, on vit s’avancer sur la piste de course John Stephen Akhwari de la Tanzanie.

Alors qu’il parcourait le circuit de 400 mètres, on pouvait voir qu’il avait une jambe avec un bandage qui ne cachait plus le sang qui s’écoulait.
Il était tombé et s’était blessé pendant la course mais il n’avait pas voulu s’arrêter.
Quand il a finalement franchi la ligne d’arrivée, les gens se sont levés et se sont mis à applaudir.

Alors qu’il boitait pour achever le parcours et n’avait évidemment aucune chance de remporter une médaille,
on a demandé à Akhwari pourquoi il n’avait pas interrompu sa course.
Il a répondu : « Mon pays ne m’a pas envoyé au Mexique pour commencer la course mais pour la compléter! »
Et il avait complété les 42 kilomètres requis d’un marathonien!

Inspirant? Oui, bien sûr.
Et c’est pour moi l’illustration du dernier verset de l’évangile de ce dimanche (33è dimanche de l’année C – Lc.21:5-19).
La parole de Jésus – son affirmation, davantage même sa promesse :

« C’est par votre persévérance que vous garderez votre vie. » 

Ne pas lâcher, ne pas abandonner, ne pas s’arrêter en chemin… 
Ne pas s’avouer vaincu, aller jusqu’au bout…
C’est ça la persévérance, sur le chemin de la vie, beau temps, mauvais temps, jusqu’au bout!

Note : Une autre réflexion est disponible sur un thème différent en anglais à : https://image-i-nations.com/33rd-sunday-of-year-c-2019/

 

Source : Récit : Images : the olympians.com   unpoissondansle.net

abandonner

jusqu’au bout

chemin

 

Ça, ça m’interpelle – 2è épisode

Des situations interpellantes peuvent se présenter à tout moment!
Elles surgissent, elles nous tombent dessus et…
elles peuvent même nous arrêter dans notre course –
à témoin la vidéo qui suit
présentée par Jacques Miller.